1. Je vous souhaite le meilleur été possible malgré la somme de crispations, laideurs et inepties que nous infligent les crétins corporate qui prétendent modeler le monde postmoderne. Et je ne parle pas des politiques... Passons ! 

    Justement, si vous passez par Genève/Calvingrad, ne manquez pas la double expo consacrée à l'œuvre du photographe et grand reporter carougeois Marcel Bolomey. On peut admirer son travail à l'entrée des Bains des Pâquis sur la rade de Genève - un endroit superbe surtout avant midi - et au Musée historique de la ville de Carouge. Ce gars-là avait une vraie vista. La 3e photo a un petit côté Belle du Seigneur qui réjouit ma vieille âme que les temps actuels chagrinent. Chaque jour, le nihilisme esthétique - ce désastre enseigné dans les écoles supérieures d'art content pour rien -  gagne du terrain. 
    Questions : comment, en moins d'un siècle, est-on passé de l'avant-garde inspirée en au degré zéro du plaisir visuel, auditif, tactile, sensuel... ? Qu'est-ce qui a torpillé l'exigence de dépassement associé à la création artistique ? La laideur samplée est devenue la norme. Qui sont les responsables ?

    A plus loin.

    PS : On dit que tenir un blog est démodé. Aujourd'hui, il faut être un Tik Tokeur,... Je suis et je resterai démodé.
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  2.  

    1996. Avec Le Danger Françoise affirme sa curiosité passionnée pour le rock et la pop indés.

    Elle n'hésita jamais à faire des pas de côté. Cet album, co-réalisé par Alain Lubrano et Rodolphe Burger, est une magnifique affirmation de son esprit aventurier. Et elle n'avait de leçon de rock à recevoir de personne. Un album qui m'a accompagné durant des heures sombres, douloureuses... 
    Quand sonnent Dix heures en été

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  3.  

    ... Dans une autre vie
    ... Dans une autre vie (plus belle ?)

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  4.  

    Ce bref post pour vous inviter à tendre l'oreille vers In This City They Call You Love, le nouvel album de Richard Hawley, notre rocker mélancolique de Sheffield qui sait l'art du mid-tempo et de la ballade façon Roy Orbison comme sur I'll Never Get Over You. Ses compositions me font encore croire à la beauté, l'élégance et la classe discrète, trois qualités pour oublier - un temps - la laideur et la bêtise postmodernes : When The Lights Go Out , une autre merveille de cet album.

    Je vous souhaite une belle soirée.

    PS : Je devrais consacrer un billet à celui sans qui les Cramps..., le rocker Jody Reynolds qui décrocha la timbale dans les charts US en 1958 avec son Endless Sleep qui a quelque chose de gothique, dépressif et romantique : un vrai truc tordu. J'aime beaucoup. Jasmine rec a sorti récemment une excellente compilation du rocker de Denver.

    (Image : Miss Natalie Wood)

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