1.  

    Un décor, certes un peu "brutaliste", mais intéressant et un diffuseur hifi "kraftwerkien" pour apprécier le titre Clear gravé en 1983 par le collectif Cybotron devenu culte. Créé par deux producteurs de Detroit, le titre fut une passerelle improbable mais bien réelle entre le quatuor de Düsseldorf (Kraftwerk) et les premiers disques de dance hip hop façon Afrika Bambaataa. Ici, on l'apprécie dans son jus/mix original. Pour être honnête, je n'écoutais pas ce genre de musique électro-pop à l'époque mais avec le temps, j'en suis venu à lui trouver des qualités pour la tête et les jambes. Minimaliste et dansant comme on peut le constater sur cette vidéo d'avant... Oui avant la pénible mode (fashion) rap qui a transformé les jeunes gens en annonceurs publicitaires pour marques de sportswear. Moi quand j'enfile un jogging, c'est pour pratiquer la marche nordique. Même pour une course à la supérette d'en face, je sors habillé. (Karl Lagerfeld avait raison.)
    Remontent les souvenirs doux des thés dansants dominicaux des années 1990-2000, encore un rendez-vous qui (me) manque. En attendant la fin du monde, bon dimanche. ;)

    Note : Qui m'avait envoyé le lien ? Yaya, Debout ?
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  2.  

    Notre Alice 70s sous influence psychotrope (?) semble hésiter à traverser le miroir Poltronova Ultrafragola conçu par le designer italien Ettore Sottsass en 1970.
    Dans le jukebox, Rhymes Of An Hour par Mazzy Star, un duo californien méditatif et mélancolique qu'on jouait pas mal dans les années 90. La magie opérait - et opère encore - grâce à la voix singulière de Hope Sandoval. J'en connais une qui a bien écouté les albums du couple, Lana Del Rey la grande prêtresse du culte neurasthénique pour "adulescents".
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  3.  

    Tout môme au milieu des années 60, j'avais choisi pour héros le bondissant Gérard Barray (1931-2024) - ici en compagnie de la troublante Mylène Demongeot dans Les Trois Mousquetaires -, qui trucidait les méchants et sauvaient de jeunes beautés avec panache. Le genre dit de Cape et d'épée, cette spécialité du cinéma français en fière héritière du roman historique popularisé avec brio par Alexandre Dumas, était alors à son sommet. De Jean Marais à Jean-Paul Belmondo, les jeunes et moins jeunes premiers suivaient leçons d'équitation et cours d'escrime pour briller sur les écrans. Dans ma banlieue cité satellite genevoise, je suivais leurs aventures grâce à la télé française (captée en Suisse romande) qui proposait régulièrement Les Trois Mousquetaires, Cartouche ou les Pardaillan, des productions tous publics que nos parents nous laissaient voir.
    En attendant un billet plus conséquent, je voulais déjà rendre un premier hommage au sémillant Gérard Barray qui vient de nous quitter.

    En bonus, la bande-annonce du film de Jacques Doniol-Valcroze, L'eau à la bouche avec Françoise Brion, Bernadette Lafont, Michel Galabru, Alexandra Stewart et... Gérard Barray. 

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  4. Source : Musée historique de la ville de Lausanne via 

    Ça donne envie de revoir l'impeccable chorégraphie créée par Keith Young sur Sing Sing Sing pour l'ouverture de la comédie Gone With The Bullets  mise en images par Jiang Wen. (2015) 
    Si après ça vous n'avez pas envie de pousser tous les meubles du living, c'est que vous êtes un animal à sang froid (ou que vous êtes mort) : votre cas est désespéré. ;)

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