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Dans le jukebox, un (autre) titre de Midland, King Of Saturday Night, avec un jour d'avance, du boogie chauffé à blanc. Les mélodies sont imparables et il y a ce groove qui vous prend sous la plante des pieds et remonte jusqu'au bassin... Bel album, définitivement.
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J'ai de la peine à envisager les prochaines échéances à l'automne d'une vie (la mienne) sans nouvel album de Mark 'The Loner' Lanegan, alors je plonge dans sa discographie vaste et atypique pour remonter des perles telle Black Book Of Fear gravé au milieu des années 90 sur Above, l'unique album réunissant les sessions de Mad Season, un groupe éphémère formé de talents issus de la scène grunge & Cie.0
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C'est sans doute la plus belle bande-annonce du Cinéma.Pour Le Mépris (1963)De toute façon, toi et moi, on est trop vieux et le cinéma va bientôt mourir, très jeune... JLG0
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Ils sont sapés comme des princes de la grande prairie échoués à L.A. où ils se sont rencontrés il y a quelques saisons pour composer des titres d'un country-rock finaud et mélancolique. Leur deuxième rondelle The Last Resort : Grettings From tourne en boucle depuis que je suis rentré d'Amsterdam. Ah oui, le trio s'appelle Midland, un bon nom de groupe hors du temps, MIDLAND.
En sons et en images, Longneck Way To Go et aussi The Last Resort
Note du 21 septembre :
Longtemps la country a eu très mauvaise presse dans nos contrées où des donneurs de leçons chafouins, ternes lampions d'un gauchisme culturel qu'on croyait obsolète* - malheureusement réactivé par les inquisiteurs "woke" -, pratiquaient et pratiquent encore des descentes de police politique dans un genre musical pluriel et méconnu. Alors qu'elle est avec le blues la parente directe du rock and roll, elle fut traitée en paria, en vieille réac' redneck et j'en passe. Bref, en Europe la country se la jouait honteuse alors qu'elle méritait une écoute exigeante pour la diversité de ses thèmes et la variété de ses voix. La méconnaissance de l'anglais par le public et la critique a aussi joué dans cette suspicion. Sans doute l'âge avancé facilite-t-il l'accès à des compositions teintées de la mélancolie profonde que provoque la vision des horizons immenses et des routes sans fin. On peut être de la vieille Europe et séduit par des échos lointains qui résonnent bien jusque ici. Je me constitue tranquillement une petite discographie country pour mes vieux jours. ;)
* Les musiciens anglo-saxons que j'ai rencontrés étaient étonnés par cette manie très francophone de plaquer une grille idéologique sur leurs créations. Ainsi les Cramps - compilateurs pointus de country déjantée - ne comprenaient pas ce besoin d'étiqueter tout et tout le monde. "On fait juste un bon show rock and roll pour que nos fans qui paient leurs places aient du plaisir. C'est tout." C'est déjà beaucoup.
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... And A Beer avec Miss Ekberg qui est toujours la muse pour15minutes.
Prenez soin de vous. Je pars quelques jours chez nos cousins bataves.
Pour aller avec, une tuerie du grand Lee Hazlewood.
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The Queen's Hats vont nous manquer.Je cherchais un autre morceau de circonstance, un chouïa plus nuancé, dans le rock et la pop britannique quand l'ami Debout a proposé l'excellent The Queen Is Dead des regrettés Smiths.A propos, le journal québécois "La Presse" rappelle que si le brûlot des Sex Pistols* fut banni des ondes de la BBC il y a 45 ans, le lendemain du décès de la reine, John Lydon posta ce Rest in Peace Queen Elizabeth II. Send her victorious, un message ma foi assez fairplay de la part du frontman punk historique qui, s'il est resté antimonarchique (ou chiste ?), n'éprouve aucune animosité personnelle envers les représentants de la royauté.Toujours à la suite du décès de la Queen, un producteur et journaleux suisse insignifiant à la retraite, auteur d'un livre que personne n'a lu - pourquoi faire ? -, a voulu faire l'intéressant en postant "qu'est-ce qu'elle a fait la reine ?" Durant son très long règne, elle travailla à maintenir la cohésion de la Grande-Bretagne. Que l'on soit pour ou contre la royauté, ça mérite le respect. C'est ainsi que je comprends le message de John Lydon.Photo : Luke MacGregor* Mon fils (21 piges) après avoir vu cette vidéo des Pistols : "Waouh ! C'était péchu... et ça l'est resté"2
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