1. Douglas Sirk meets computer's world.
    Sur la B.O., Computer Liebe : ich brauch ein rendez-vous, ich brauch ein rendez-vous...

    (Archives pour15minutes)
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  2. Dès le début du blog (il y a 13 ans), ces lieux parfaits se passèrent de commentaire.
    (Source : NZZ)

    Hervé propose un titre du trio canadien IKO - 83 pour accompagner cette image. Gravé en 1982 sous influence kraftwerkienne, Elevator résonne bien dans les couloirs déserts.
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  3. Sur les murs et sous les eaux ? Non, c'est l'inverse. Pff ! Ambiance glou-glou un peu morose : ça commence à bien faire alors on tente l'évasion.
    Il faudra un jour que je vous raconte une cuite grandiose de fin d'adolescence. J'ai terminé la nuit dans la baignoire en contemplant le rideau de douche dont les motifs aquatiques me firent croire que j'étais à bord d'un transatlantique. Une âme charitable glissa un oreiller sous ma tête chiffonnée. Quelle biture !
    - Elle est pas un peu fasciste votre affiche ?
    - Si vous le dites. Je ne sais plus où je l'ai chipée... Je l'ai mise pour son trait futuriste.
    Je vous donne le bonsoir.
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  4. ... Vous invitent à danser la salsa, le mambo, la rumba ou le cha-cha même confinés. Vous savez ce que vous devez faire : préparer des coquetèles et une playlist fruitée, retirer le tapis, pousser les meubles, etc. Avec en guest star, notre ananas pré-psychédélique préféré, l'inégalable Carmen Miranda accompagnée ici par l'orchestre de Benny Goodman.
    Dans cette autre séquence elle interprète une samba-boogie (?!) Sacrée Carmen !

    Surfin' PS : Intrigué par The Bongo Teens annoncés sur la dernière pochette, j'ai cherché un de leurs titres en ligne. Voilà ce que ça donne : Surfin' Bongos gravé en 1962. Ce qu'il y a d'ennuyeux avec le  surf rock instrumental, c'est qu'une fois que vous avez écouté deux ou trois titres, vous avez fait le tour de l'affaire ou de la vague. Je vous donne un conseil : procurez-vous une bonne compilation sur Ace Records, par exemple, et vous aurez un chouette échantillonnage du genre. Pour une party réussie, c'est suffisant. (Au moment où une certaine langueur s'installe, vous envoyez un titre de Dick Dale : effet garanti.)
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  5. Un deuil familial synchrone avec la disparition de l'auteur du Beau Bizarre m'a mis sur le flanc mais il faut que la vie continue ("Aimons-nous vivants !"), surtout ces jours, aussi j'espère parvenir à terminer la rédaction de mes notes de lecture dans quelques temps. A plus loin.

    Photo : F. Scianna
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  6. ... Qui nous dira les Mots bleus ? Oui, qui ?

    Il était le dernier des dandies
    Ce blog devient une allée du cimetière un peu abandonné que visitent, tristes ou goguenards, les vieux boomers et leurs enfants, même si ceux-là le font en cachette.

    Dans la médiature, à l'exception du bel hommage de Thomas Morales (in Causeur), je n'ai rien relevé qui fût essentiel ou au moins élégant pour nous faire passer la funeste étape. Fan de belles carrosseries comme Christophe dont la passion des cylindrées élégantes fit sauter le permis définitivement, le chroniqueur mélancolique sait aussi qu'une pointe de vitesse peut affiner les sentiments - c'est de Nimier, enfin je crois. A cette notable exception donc, je n'ai rien lu pour apaiser la tristesse et aider à vivre le deuil.
    Aucune rédaction, aucun responsable d'édition n'a demandé une évocation de la discographie de Christophe à Pierre Robin, l'auteur négligé de L'esthétique contre-cool, tsss ! Pourtant son manifeste débute par le premier vers des Paradis perdus. Christophe est aussi celui qui a composé une ode à Enzo Ferrari. Tout pour (dé)plaire.
    Il va falloir retrouver les chemins buissonniers de mes sept ans quand j'ai entendu Aline la première fois. Après ? Je verrai comment faire tenir l'ensemble moi, je et on. En attendant, je rejoue Label obscur...
    Dans ma veste de soie rose
    Je déambule morose
    Le crépuscule est grandiose
    Peut-être un beau jour voudras-tu
    Retrouver avec moi
    Les paradis perdus
    Dandy un peu maudit, un peu vieilli,
    Dans ce luxe qui s'effondre
    Te souviens-tu quand je chantais
    Dans les caves de Londres
    Un peu noyé dans la fumée
    Ce rock sophistiqué
    Toutes les nuits tu restais là
    Peut-être un beau jour voudras-tu
    Retrouver avec moi
    Les paradis perdus

    Source scan : gonzaï.com
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  7. Au temps de la grippe de Hong-Kong dont le pic eut lieu fin 1968 et début 1969.
    Bilan : un million de morts dans le monde. Souvenir diffus. Autres temps (analogiques), autre rapport à la mort. Je dis ça, je dis rien.

    ***
    Le confinement, ce moment de la cinéphilie heureuse :
    On connait la réticence de Stanley Kubrick à se confier à la presse aussi les entretiens enregistrés au fil des ans par le critique et historien du cinéma Michel Ciment, un des rares journalistes tolérés par le maître - c'est Ciment qui le dit - constituent une source formidable sur les motivations et la méthode de travail du cinéaste. De ces interviews, Gregory Monro a tiré Kubrick par Kubrick, un documentaire subtil visible jusqu'au 5 mai.
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  8. Dans le prochain billet un peu conséquent - du moins, je l'espère - il sera question de livres. Romans, essais, biographies et un doigt de poésie, cette fine liqueur de l'âme. En ces temps confinés, les accrocs à la lecture, ce merveilleux vice impuni, ont tout le loisir de lire, lire et lire encore. Je plains les malheureux insensibles à cette drogue douce.
    A plus loin.

    Photo : Bruce Davidson en 1966 sur la Côte Ouest
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  9. Il paraît qu'on picole beaucoup, beaucoup trop même. Les donneurs de leçons de la médiature du cercle écrivent - ou font écrire - que c'est mal. Ce sont ces mêmes jean-foutre (au pluriel, faut-il mettre un "s" à jean-foutre ?) qui, quel que soit l'état du monde, sont payés pour le comprendre mais, infoutus de le faire, tentent de donner le change en diffusant à la place des synthèses fines attendues en période de crise une moraline poisseuse.* Qu'une ébriété joyeuse nous aide à amortir le poids de leurs mensonges - en sus du confinement - les inquiète un peu quand même, alors au lieu d'enquêter sérieusement ils continuent à faire en toute impunité leurs petits besoins : dénoncer, juger et condamner.
    Mort aux c... et santé, mes amis !

    Scan : taverne futuriste

    * Un exemple :
    Les attaques dont a été l'objet l'un des meilleurs virologues de France sont une énième manifestation de l'incompétence arrogante des chiens de garde perméables à toutes les pressions lobbyistes. Le tableau ci-joint montre l'efficacité du protocole appliqué par le Pr Didier Raoult qui associe l’azithromycine, indispensable, à la chloroquine, cette bonne vieille nivaquine que je prenais en Afrique en prophylaxie contre le paludisme.
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  10. Et ce billet sur William Mortensen ?!
    Heu, ça vient... En attendant - les marines ? -, sa vision de Salomé.
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