1. Avoir de l'allure à bicyclette par Sean Connery.
    Vous remarquerez qu'il a laissé ouvert le dernier bouton de son gilet, signe de l'élégance dandy.
    Belle journée
    (Merci à Anne)
    0

    Ajouter un commentaire


  2. Peter Fonda ? Un prince de la série B, ici The Wild Angels de Roger Corman en v.o. avec Nancy Sinatra que l'on ne voit pas assez. Dommage, elle était si photogénique et glamour.
    Et une séquence archive proposée par Debout.
    Bien sûr, il y a son rôle - LE rôle ? - dans Easy Rider qui initia les films de motards/bikers et Hells Angels mais au départ, Hopper et Fonda n'avaient pas imaginé produire un film culte qui allait engendrer un phénomène. Qu'en dit Nanarland.com ? Je vais jeter un coup d'œil. Il est cité dans un article sur les productions de films de bikers.
    1

    Afficher les commentaires


  3. Par Hans Bellmer qui fut l'amant de Lizica Codreanu-Fontenoy, l'ex-femme de Jean Fontenoy. Danseuse pro, elle participa à quelques jolis scandales Dada & Cie à Paris. C'est après une de ses performances que Fontenoy fit sa connaissance backstage.
    En-bas dans un costume de Sonia Delaunay - si j'écris pas de bêtise.
    0

    Ajouter un commentaire

  4. Son truc en... plumes
    Miss Chris Cranston
    2

    Afficher les commentaires


  5. Ma fascination pour les soldats perdus de la littérature remonte à la fin des années 80. Un complice m'avait proposé de collaborer à une série radiophonique pour la chaîne culturelle de la Radio romande. Intitulée Les voyous de la littérature, ses épisodes seraient consacrés à Antonin Artaud, Truman Capote, Roger Vailland mais également aux sulfureux Drieu la Rochelle et Maurice Sachs. Durant la préparation, j'ai découvert la bibliographie de Roger Nimier qui devint mon passeur vers des écrivains proscrits pour des raisons diverses, discutables ou non. Le lancement de l'excellente petite collection Les Infréquentables publiée par les éditions du Rocher sous la direction de Michel Bulteau, autre voyou littéraire de belle surface, coïncida avec le projet radio. Bulteau confia Nimier, Styron, Vailland, de Gourmont et quelques autres bandits des lettres à de bonne plumes contemporaines. On était raccord. L'émission se fit dans des conditions un peu précaires voire chaotiques; peu importe car elle me permit de découvrir des pans entier de la littérature "oubliés" ou ostracisés par les profs de lettres et la critique en cour. Aussi, il y a quelques semaines, quand j'appris que ce vieux gauchiste de Gérard Guégan avait consacré en 2011 un essai biographique et littéraire bien tourné à l'infréquentable Jean Fontenoy, je le commandai illico et le dévorai en deux nuits.
    Le 4e de couverture de Fontenoy ne reviendra plus* apprend au lecteur que Guégan est obsédé depuis un quart de siècle au moins par la question qu'est-ce qui pousse un homme à changer de camp, à passer, par exemple, de la gauche la plus enragée à la droite la moins clémente. Jean Fontenoy fut un tel homme qui, pour reprendre le mot de Malraux, ne rata rien de ce qui comptait, tout au moins dans ses vingt ans : la Grande guerre, Dada, la révolution d'Octobre, Maïakovski, Lénine et Trotsky, Moscou et Shanghaï, Tzara et Crevel (et l'opium) mais finit par se faire fasciste. Pourquoi, comment ? Par pose, par anticonformisme, par désespoir ou par provocation... ? Je tâcherai prochainement de comprendre ce destin improbable en même temps que ma fascination pour de tels écrivains qui brûlèrent leurs vaisseaux sans espoir de retour.

    * Ed. Stock 2011 et réédition en folio.

    Photo : Jean Fontenoy et la séduisante Mme Tchang Kaï-chek en 1928. Contrairement à la légende rapportée par Dominique Fernandez dans la biographie qu'il consacra à son père, Fontenoy ne fut pas son amant.
    4

    Afficher les commentaires


  6. Photos : Isabel Muñoz (en haut) et Dirk Vogel (en bas)

    Bon dimanche
    0

    Ajouter un commentaire


  7. Sur le dernier album de notre ami Richard Hawley, Emilina Says, une autre merveille du gars de Sheffield.
    0

    Ajouter un commentaire

  8. En secret, Tintin écoute du rock and roll.
    0

    Ajouter un commentaire


  9. Je me fais peut-être des idées mais Capri dans les années 30, ça devait être quelque chose.
    Deux images de l'île par Herbert List.
    Un quart de siècle et une guerre mondiale plus loin, des artistes amoureux de Capri et des jeunes de toute l'Europe vinrent danser sur Tintarella di luna par Mina.

    Est-ce le bleu mélancolique du ciel d'août qui provoque cet état ? Une envie, un besoin d'éteindre, de tout débrancher, d'être déconnecté.
    0

    Ajouter un commentaire


  10. Kōshirō Onchi, Gare de Tokyo, 1920 (?)
    D'autres œuvres du peintre et photographe nippon sont visibles ici et . (Merci à Dsata)
    0

    Ajouter un commentaire

Archives du blog
Archives du blog
THE WEIRD THE STRANGE THE BEAUTIFUL
THE WEIRD THE STRANGE THE BEAUTIFUL
THE WEIRD THE STRANGE THE BEAUTIFUL
JOURNAL UN PEU COUTURE SUR LA POP & ROCK CULTURE
Qui êtes-vous ?
Qui êtes-vous ?
Chargement en cours
Thème Affichages dynamiques. Fourni par Blogger. Signaler un abus.