1. Puissions-nous ne jamais le rencontrer !
    Une diablerie envoyée par l'ami Olivier G.
    Une autre par Yaya

    Au cinéma, c'est le Malin qui souffle sous les jupes des filles. Olivier a appelé cet envoi "toxicité masculine".
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  2. Dans le jukebox
    A+
    Dans le jukebox (2)

    Déclassés, pas dégoûtés.
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  3. Pour rester dans le mood cabaret rétro 20's, une séquence de Pennies From Heaven (1981) réalisé par Herbert Ross avec un Christophe Walken fringuant qui montre son talent de danseur de claquettes.

    Pour15minutes est en vacances.

    Scan : Broadway réal. Paul Fejos, USA, 1929
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  4. Ah ! Ça va mieux grâce à, par ordre d'apparition, Chelo Alonso, Honor Blackman, Jayne Mansfield (avec toutou) et Elizabeth Montgomery. Car c'est bien d'apparitions dont il est question ici. Je dois les invoquer. Alors, vivantes ou passées de l'autre côté - ça ne fait aucune différence pour l'intoxiqué du glamour -, elles boudent avec grâce et ignorent ma supplique ou alors, mieux disposées, elles entendent ma prière et viennent me consoler des laideurs postmodernes. Elles sont quelques unes des muses pour15minutes.

    Sur la B.O., Georges Benson et Jack McDuff captés à Antibes l'année 1964 et Aretha dans Oh No Not My Baby
    (un titre de Carol King et Gerry Goffin)
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  5. ... Avaient de l'allure.
    Alors que le champ contemporain de la création artistique a plus que jamais besoin de combats lettristes ombrageux, d'exigences aristocratiques, de ruptures égotistes, de fulgurances libertaires, de dissidences médiatiques et de projections électro-futuristes, on nous fourgue de l'art acratopège baignant dans du lien social-démocrate et de l'amidon bisounours. Vanité et vacuité de l'art graphique officiel.
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  6. Dans la préface à L'oreille d'un sourd, l'excellent recueil de ses chroniques édité chez Grasset en 2011, Philippe Garnier écrit qu'il était devenu dans la presse française* le rapporteur musical des destins obscurs, catégorie losers et de citer parmi eux le Texan d'adoption Ramsay Midwood. Quelques clics m'ont conduit chez Esther, une ballade bluesy que je trouve poignante. Elle figure sur Shoot Out At The Ok Chinese Restaurant sorti en 2000, son premier disque de blues à vif qui baigne dans le Chicago sound. Suivront en 2006 Popular Delusions & The Madness of Cows et en 2011, Larry Buys a Lighter sur son label Farmwire.
    Restons chez les improbables en compagnie d'un autre gaillard singulier figurant sur la liste de Garnier, l'inclassable James McMurtry avec sa dégaine out of time. Je le découvre dans How'm I Gonna Find You Now, un titre qui a même eu droit à sa vidéo promotionnelle.
    Les chroniques de l'ex-guetteur de L.A. vieillissent bien. Elles offrent au lecteur un plaisir de gourmet à une époque de novlangue surgelée.

    Photo : William Eggleston

    * En gros, du début des années 80 jusqu'en 2000. Après, tout a changé. Les commandes de piges se firent de plus en plus rares pour finalement disparaitre. Le meilleur chroniqueur free lance de la presse francophone dans le domaine de la culture Bis était au chômage.
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  7. Miss Gia Genevieve pour une marque de lingerie.
    Photo : Tatiana Gerusova
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  8. Inspiré du kimono, le vêtement de travail en tissu tapa fut conçu au début du XXe siècle à la demande des missionnaires choqués à la vue des paysans japonais qui travaillaient torse nu dans les champs de canne à sucre de Hawaii. Sa coupe influença la fameuse chemise "aloha" portée, entre autres stars, par le King qui lança la mode aux USA au début des années 60. Dans les premières saisons du blog, l'ami Olivier avait écrit un billet sur Alfred Shaheen, un fabricant de chemises hawaïennes réputées qui venait de disparaitre. Elvis porta ses modèles.

    Le 24 mai 2009, Olivier publiait cette chronique :

    J'ai appris qu'Alfred Shaheen était récemment passé de l'autre côté du miroir à l'âge de 86 ans. Son nom ne vous dit probablement rien mais ses créations, immortalisées par les plus grandes stars, lui survivront. L'inventeur de la "vraie" chemise hawaïenne naquit en 1922. Il reçut une formation d'ingénieur aéronautique. Après une belle guerre en tant que pilote de l'Army Air corps (85 missions de combats au dessus de la France, l'Italie et l'Allemagne), il retourna dans l'entreprise de confection familiale à Oahu. En 1948, il créait son propre commerce nommé Surf'n Sand Hand Prints dans la maison de ses parents sur Kalakaua Avenue. A partir de 1950, il dessina puis fabriqua les machines destinées à imprimer et teindre ses tissus. Son chef chimiste et proche ami, le Dr. Edmund Lutz, un vrai génie à l'origine d'une vaste gamme de teintures spéciales, eut un rôle déterminant dans cette aventure. Les motifs créés par son brillant designer sur textile, Robert Sato, étaient inspirés de l'art polynésien et asiatique. L'équipe renforcée du styliste Richard Goodwin produisit des classiques tels que les modèles Pua Lani Pareau, Antique Tapa et Joss Sticks. Son mannequin vedette, la très belle Beverly Noa, présentait les modèles avec grâce et style. L'affaire connut un développement fulgurant en 1961 lorsque Elvis Presley porta une de leurs chemises sur la couverture de l'album Blue Hawaii.
    Le dernier gros coup d'Alfred Shaheen fut d'habiller l'acteur Tom Selleck dans la célèbre série TV, Magnum P.I. La production cessa après le départ en retraite de Shaheen en 1988.
    Aujourd'hui, les vêtements des diverses marques du groupe - Alfred Shaheen, Shaheen of Honolulu, Surf'n Sand, Kiilani et Burma Gold Hand Prints - sont des pièces extrêmement prisées sur le marché vintage avec des prix pouvant atteindre plusieurs milliers de dollars. L'époque étant aux retours et aux hommages, il est vivement conseillé par l'équipe de Pour15minutes de visiter les friperies en quête d'imprimés tigres, fleurs ou bambous pour être à la page cet été !

    Olivier. G.

    Dans le jukebox, Rock-A-Hula Baby
    L'été indien nous offre l'occasion d'exhiber nos plus belles chemises. Aloha !
    En supplément, une séquence baston pour rire !
    (Depuis la rédaction de ce billet, les grandes enseignes de prêt-à-porter se sont mises à surfer sur la vague tiki.)
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  9. On pardonne les espadrilles* (soupir) car l'idée d'un bureau mobile est sympathique.

    * Le jeune trublion Charles Consigny affirme que tout le monde est ridicule en espadrilles. Pas faux. Il ajoute qu'il déteste aussi les brigades anti-mégots, le quinoa à tous les étages et les artistes engagés. (Lu dans Vanity Fair)
    Cela posé, pour faire mentir ceux qui pensent que la discothèque pour15minutes est animée par un vieux magot analogique, je vous invite à jeter une oreille sur deux nouveautés, des vraies. Un titre de l'album tout neuf de Mademoiselle Anna Calvi qui se lâche sur le sexe. Oh oh ! Ça s'appelle Hunter , c'est plutôt bien envoyé et effectivement assez hot.
    Il y a quelques jours, je me demandais ce que devenait Brett Anderson, le frontman dandy de Suede qui fit des étincelles dans les 90's en y mettant un peu de glamour. Il sort un album avec son groupe d'où est tiré Life Is Golden dont la vidéo a été tournée à Tchernobyl. Ambiance...
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  10. Hong Kong sous la pluie par Christophe Jacrot
    Dans le jukebox, J'attends... J'attends...
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