1. A la place des rediffusions déprimantes bouffées aux mites parmi lesquelles les sempiternels titres de James Bond - ceux avec Roger Moore sont les pires - et les fonds de catalogues que les télés grand public nous infligent pendant les fêtes, j'aurais aimé me caler devant les visions pop de Casino Royale réalisé par Val Guest en 1967 avec Peter Sellers, Ursula Andress, David Niven, Orson Welles, John Huston, Jacqueline Bisset, Jean-Paul Belmondo...
    C'est en feuilletant l'épatant recueil The James Bond Archives édité par Taschen que j'ai redécouvert ce James Bond un peu à part pour lequel la production rassembla quelques uns des meilleurs designers de l'époque. Au final, un 007 agent burlesque dans un cadre pop (et Op'Art) sophistiqué et pastiche comme le montre cette séquence revigorante avec Woody Allen et Dahlia Lavi* et un espion loufoque dans cet autre extrait où l'on découvre la salle d'entraînement des agents de Sa Majesté.
    Voilà pour cette année. Normalement, on devrait se retrouver en 2019. D'ici là, faites-vous du bien. Champagne !

    * Dans un épisode de la série sympathique Dix pour cent, Dominique Besnehard - qui y joue son propre rôle - est affligé quand il se rend compte que plus personne ne connaît la sculpturale actrice (et chanteuse) dans le milieu du cinéma français contemporain.

    Source scans 1et 2. J'ai retrouvé la photo promo originale qui a tout de même plus d'allure que la précédente.
    7

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  2. Par John Gutman (1937)
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  3. Le 31 décembre, Madame Satan mènera le bal.
    A l'année prochaine.
    (Illustrations de Gruau)
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  4. 12

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  5. L'agence Magnum met en ligne un choix de clichés de Martin Parr, le capteur d'instants de la vie quotidienne britannique et ses traditions pop et populaires. A l'approche des fêtes, il a photographié les décorations de Noël dans la banlieue de Bristol. C'est quelque chose !
    Voir les Christmas Lights
    Je profite de ce billet pour vous souhaiter une fin d'année apaisée* et un excellent Noël.

    Sur la b.o., Something Changed de Pulp, talentueux représentants de la vague dite "britpop" des années 90. Outre la bande à Jarvis Cocker et son humour ravageur, mes groupes préférés étaient les dandys de Suede, les outsiders de The Verve, les improbables Supergrass, les filles d'Elastica et Oasis pour quelques titres.

    * Oubliez l'info anxiogène durant une semaine, au moins : effet bénéfique garanti.
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  6. Oui, mais avec style.

    Pour accompagner le balancement du rockin' chair de Mister Caine, j'ai suivi une suggestion de Debout. Qui était ce Willie Gregg - avec ou sans ses Velvetones - responsable de You Fool, une petite perle gravée l'année 1960 ? Un cowboy désabusé retourné dans sa prairie barbelée après un détour par le showbiz', un auteur de Nashville sous pseudonyme, un hobo inspiré mais inquiet ? J'ai déniché quelques informations mais la récolte est plutôt maigre. Durant les 60's, le gaillard imprégné de hillbilly et de country a laissé quatre singles répertoriés sur quatre labels (!) parmi lesquels une reprise d'un titre de Merle Hagard. Il acquit une petite renommé locale dans la région de Orange/Port Arthur au Texas avant de glisser dans le grand silence.
    Source fiable
    4

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  7. La retraite monacale de Yaya semble lui avoir profité. Elle nous revient bondissante en reine de la jungle - ici : cri du Tarzan ravi - avec des illustrations de goût et de bonnes vibrations.
    Sur la b.o. du bar de la jungle, elle a choisi pour "ambiancer" sévèrement Mahlathini Mahotella Queens et ensuite, pour le slow ou la sieste, Hugh Masekela.
    On peut ouvrir une bière fraîche ou se préparer un coquetèle relevé. Prosit !
    2

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  8. Smoking times... Pola Negri cernée par une bande d'allumeurs dans Good and Naughty, un muet de 1926. Variante contemporaine :
    Elle a les yeux cernés par un’ foul’ de hors-la-loi
    J’les ai jamais comptés, c'est ell’ qui compt’ pour moi
    J’me l'imagine à un point qu'ell’ s'imagin’ pas
    Ell’ s'fait rougir tout’ seul’
    Ell’ s'fait rougir tout’ seul’

    Elle s'fait rougir toute seule, vidéo avec playback, déhanchements et posture à clous (?)
    Quand Boris Bergman faisait des étincelles pour Alain Bashung.
    Le titre figurait sur la face B du 45T Gaby et sur la réédition 1980 de l'album Roulette russe.
    (C'était hier... Il y a un siècle.)
    0

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  9. Petit hommage en images à Pete Shelley, le frontman des Buzzcocks disparu le 6 décembre.

    Début 2019 - si tout va bien -, j'aimerais mettre en ligne une chronique impressionniste des années 1978-80 dont la bande-son comporte bien sûr des titres des boys de Bolton/Manchester. En attendant, Ever Fallen in Love, un grand singles punk devenu un classique du rock britannique. La recette ?  L'énergie et un sens très pop de la mélodie.
    Les Buzzcocks font partie des rares groupes punks historiques dont je ressors parfois les disques. Avec The Clash, The Real Kids, The Only Ones, Television ou Suicide - même si le duo électro-punk new yorkais est un peu à part.
    Bon ouikend
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  10. Par Kak
    A+
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