1. Une Michèle Morgan très en beauté comme on disait avant. Avant...
    Source (indispensable)

    Note : une image de La Symphonie pastorale réalisé par Jean Delannoy en 1945 d'après André Gide. L'année suivante, le film obtint la palme d'or lors du premier festival de Cannes. Michèle Morgan reçut le prix d'interprétation féminine. Après un long séjour hollywoodien, ce film marquait la reprise de sa carrière en France.
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  2. Debbie Reynolds et Carrie Fisher

    Depuis l'annonce de la disparition de la princesse Leia et de sa maman Debbie le même jour, vous êtes gavés d'images de Star Wars ? J'ai ce qu'il vous faut, juste le temps de réactiver la séance Gym Tonic que toute la blogosphère nous envie. Au programme, un extrait de la comédie musicale I Love Melvin (1953) avec Debbie Reynolds et Donald O'Connor suivi d'une séquence swing tirée de Bundle Of Joy. Voilà qui devrait vous redonner du peps. Let's dance !

    Note : J'ai failli oublier de déposer un lien vers la recension d'un documentaire consacré à la relation singulière entre Debbie et Carrie.
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  3. En attendant la sortie d'Alien : Convenant prévue pour mai 2017, offrons-nous un (petit) frisson grâce à sa bande-annonce. Selon Le Point Pop*, Ridley Scott aurait retrouvé ses esprits et renoué avec le climat paranoïaque de son chef-d'œuvre de 1979, Alien, le 8e passager, ce huis-clos fascinant qui jouait avec les nerfs du spectateur grâce à une réalisation magistrale, plus suggestive que démonstrative, où l'on voyait très peu la sale bête. Depuis l'irruption du monstre imaginé par Giger, les spectateurs, soumis à toutes sortes d'effets spéciaux conçus pour des blockbusters aux scripts aussi minces que navrants, sont blasés. Or la force de frappe d'Alien reposait - et repose encore - sur un traitement minimaliste de l'horreur qui imprégnait progressivement l'équipage du vaisseau perdu dans l'espace,  où personne ne vous entend crier... J'ai eu la chance d'assister à une séance du premier volet à New York en 1980. A l'époque, on pouvait fumer et pratiquer toutes sortes d'activités, légales ou non, dans les cinémas nord-américains. Cette liberté inimaginable aujourd'hui offrait au cinéphile européen une expérience. Mais lors de la séance d'Alien à laquelle j'assistai dans une salle de Manhattan, je fus un peu déçu car le silence s'imposa dès les premières images. On aurait alors pu entendre voler un moustique défoncé tant le climat oppressant créé par le brillant Ridley Scott avait saisi les spectateurs. A voir impérativement sur grand écran.

    * Le cahier Pop Culture du Point en ligne est une bonne initiative susceptible de séduire un lectorat que l'actualité générale-généraliste assomme, égare ou/et déprime.
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  4. Qu'il soit tiki - avec sapin rose de rigueur -,  sur la route,  en famille ou en bande pop organisée, je vous souhaite un Joyeux Noël. Dans le juke box, une sélection Doo-Wop, un genre musical pétillant qui fait monter le rouge aux joues des filles.
    Aloha !
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  5. Michèle Morgan est Thelma dans Les Scélérats réalisé par Robert Hossein. Sur les écrans en 1960.
    Tiré de la cinémathèque de Yaya.
    Vers le film

    Une requête ou une prière :
    Jusqu'au 2 janvier, personne de bien ne meurt, on est d'accord ? C'est plus un blog mais une rubrique nécrologique.
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  6. Une galerie tutti frutti en couleurs pour terminer cette année douloureuse sur une note glamour et sexy. Conservons le cap malgré les massacres, les mensonges* et les disparitions.
    Avec mes meilleurs vœux.

    RC

    (sources diverses)

    * Je rumine depuis quelques temps un petit quelque chose sur la paranoïa non critique - on n'est pas chez Dali, hélas ! - et l'incompétence corporate dans une médiature essorée mais encore arrogante, deux paramètres essentiels à la fabrication et à la diffusion du mensonge. Ce sera pour 2017 si tout va bien.
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  7. Philippe Becquelin alias Mix & Remix a fait une mauvaise blague. Il nous a quittés hier soir vaincu par le crabe. Il avait 58 ans.
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  8. Notre Zsa Zsa est partie. A 99 printemps, c'est injuste. Je suis sûr qu'elle s'est accrochée tant qu'elle a pu pour parvenir au siècle. La faucheuse a gagné la partie. Ces dernières années, je l'imagine volontiers prenant des nouvelles de la santé de son seul concurrent sérieux dans la catégorie centenaires hollywoodiens mais Kirk Douglas, le Viking du Cinémascope, l'a coiffée au poteau. Dans la catégorie pipeule, elle était sans rival(e). Zsa Zsa fut notre über-people ! Pour l'évoquer, j'ai retrouvé un passage des Mémoires de l'impeccable George Sanders qui fut aussi son mari, le 3e sur une liste comprenant 9 époux :
    Chaque âge possède sa Madame Pompadour, sa Lady Hamilton, sa reine de Saba, sa Cléopâtre, et je ne serais guère surpris si l'Histoire sélectionnait Zsa Zsa Gabor comme le prototype pour le vingtième siècle de cette coterie triée sur le volet. Je n'ai jamais à proprement parler "rencontré" Zsa Zsa. Nous sommes entrés en collision aux Bermudes, à Nassau, à Cuba, à Hollywood, et finalement à Las Vegas où elle entra en collision avec un prêtre, lequel mit fin à toute cette absurdité en nous faisant nous passer une alliance au doigt. Zsa Zsa était comme du champagne, et moi en tant que mari j'avais toutes les peines du monde à me conformer à son degré d'effervescence. Je trouvai la communication avec elle aussi difficile que la collision était facile. (...) Après notre divorce, Zsa Zsa et moi pûmes jouir d'une relation beaucoup plus harmonieuse. Nous mous entendions infiniment mieux en tant qu'amis qu'en tant que partenaires dans le mariage.

    Une chose est sûre, vous nous avez fait passer de bons, de très bons moments pour15minutes.  En ces temps navrants, ça ne se refuse pas. Bye Bye, chère Zsa Zsa.

    (Source scan : Doctor Macro)
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  9. Petit plaisir...
    J'ai reçu ce jour un lien vers la vidéo un peu weird qui accompagne - ou illustre - un morceau de Kelly de Martino, une french demoiselle dont je ne sais rien* mais dont j'aime bien ce titre aux influences transatlantiques proposé par Yaya. Petit mystère...
    A plus loin.

    * Pas tout-à-fait puisque j'ai appris qu'elle a enregistré deux albums : Radar en 2005 et Honest en 2008 qui ont été bien accueillis par la critique selon la formule consacrée.
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  10. J'ai reçu hier un disque magnifique de Townes Van Zandt, une de ces rondelles rééditées qui aident à passer l'hiver. Paradoxalement, les compositions de ce grand brûlé de l'existence me redonnent courage et niaque. Deux ou trois titres et je me retrouve droit dans mes bottes. Il y a peu, j'expliquais à Debout que je soignais mes coups de blues non pas avec des trucs légers ou fun - je les garde pour mes périodes ensoleillées - mais au contraire avec des songwriters cabossés qui savent gratter un blues à l'os ou tourner une ballade neurasthénique. Depuis les années d'initiation, c'est le mal par le mal. La méthode est efficace. La quête de l'effet miroir, ou comment une composition prétendument triste a le pouvoir de réchauffer les âmes inquiètes, blessées, mélancoliques... Un exemple avec For The Sake Of The Song de Townes Van Zandt dont certains albums ont été judicieusement réédités après un léger nettoyage numérique par le label Fat Possum, une bonne maison aux antennes largement déployées en quête de nouveaux talents tels The Seratones proposés par Dsata.

    ***
    Je ne parvenais plus à afficher la page d'accueil pour15minutes en raison d'un problème de sécurité. (Le blog était infecté.) J'espère que c'est réglé car j'ai passé plus de deux heures dans la soute pour repérer et liquider les petites saloperies qui s'y étaient glissées.

    Source scans : Shorpy et Townes Van Zandt/Fat Possum records
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