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Sur la sono, Bayou Country, une fusion country-cajun-funky que je trouve réussie.
Source photo: belle nuit1Afficher les commentaires
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Une image assez romantique (si si !) de Creature from the Black Lagoon, aussi pour les couleurs.
Pour15minutes est en mode vacances. On ne fournit pas les palmes. Et sur la b.o. ? Heu... The Barracudas ? The Beach Boys ? Nos amis les Cramps ? Trop téléphoné... Si vous avez des propositions, je suis preneur.
Ceux qui suivent : Yaya suggère The Deadly Ones dans l'immortel (?) There's A Creature In The Surfer's Lagoon.
El ReReX propose la reprise par Charles Manson du Swamp Girl créé par Frankie Lane.
L'idée est de faire (re)découvrir des titres originaux et leurs improbables reprises*. Là, on est gâtés. Merci aux oreilles curieuses qui partagent leurs trouvailles.
* Il n'y a aucune obligation, bien sûr. On se laisse guider par ses envies.11Afficher les commentaires
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Laura Antonelli dans Le malizie di Venere/Vénus en fourrure de Massimo Dallamano en 1969 et dans L'Innocente/L'Innocent réalisé par Luchino Visconti en 1976.
Ciao bella3Afficher les commentaires
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Pour les fondus de SF, les années 70 et le tout début des 80's furent l'âge d'or de l'illustration. Aux Etats-Unis et surtout en Europe, des dessinateurs prirent la vague qui secoua les fondations du genre. Adolescent au début de la décennie, je découvrais sur les couvertures de romans, les revues - une pensée émue pour l'équipe de "passeurs" de Métal Hurlant -, les fanzines et bien sûr les affiches de film, une liberté de création inégalée à ce jour.
Si la censure d'Etat bête et brutale s'abattait sur les éditeurs anticonformistes, l'autocensure n'avait pas encore formaté le cadre "idéologique" des illustrateurs et des scénaristes.
De haut en bas : Mike Inge, Wallace Wood et David Schleinkofer, des scans vus sur ce blog entièrement dédié aux illustrateurs de SF dans les 70's.0Ajouter un commentaire
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Après le thème du super-héros réinterprété par des artistes actuels, la Maison d'Ailleurs* à Yverdon présente Portrait-Robot, une exposition qui considère les robots comme des images – celles des modèles industriels et techno-scientifiques inventés par l’humanité pour se caractériser. L’exposition rappelle ainsi que la création de visages métalliques est avant tout un artifice pointant les limites des définitions dans lesquelles nous sommes enserrés et ce, afin de nous aider à nous réinventer.
Du 21 juin 2015 au 31 janvier 2016. On en reparle à la rentrée.
*Musée de la science-fiction, de l’utopie et des voyages extraordinaires.0Ajouter un commentaire
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Après la fin du duo avec son frangin Charlie, Miss Inez Foxx poursuivit un temps une carrière solo en enregistrant quelques bons titres comme Crossing Over The Bridge capté lors de sessions à Memphis. Il figure sur la sélection Nobody Wins - Stax Southern Soul, 1968-1975 éditée par Kent/Soul.0Ajouter un commentaire
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A la cave ou sur la plage, l'été sera résolument jazz jive grâce - entre autres - à Count Basie et son Band dans One O'Clock Jump auquel on enchaîne Basie Boogie, une heure et demie d'une musique qui fait vibrer les menhirs genevois les plus psycho-rigides. Take a break and let's jump !0Ajouter un commentaire
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