1. 1948, the night is calling.
    A Londres, au Palace de Lausanne et au Picwood Theater (int./ext.) de Los Angeles.
    Sur les écrans

    Le web offre des possibilités de collages infinies, alors on tente un Daddy's Dream chanté par Demetrios Stratos (disparu en 1979) que propose Debout. Pourquoi pas ? Je trouve qu'il résonne bien avec les images de nuit.
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  2. Mlle Deneuve dans Répulsion de Roman Polanski (1966)
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  3. J'étais cigare.

    Ces jours "off" me font du bien. Et vous, ça va ? Marre du catastrophisme ambiant... Je vous propose de regarder le beau portrait de Catherine Deneuve brossé par Anne Andreu ce soir sur France 3. Une complicité, oui, mais avec distance et élégance : Catherine Deneuve, belle et bien là à 22h20.

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  4. Claudine Auger est Domino dans Thunderball, une aventure de James Bond de 1965.
    Miss Auger est craquante mais la mer est trop agitée pour une baignade et cette plage paraît surpeuplée, alors on reporte.

    Le 23 mai prochain, cela fera huit ans que j'anime pour15minutes, une éternité dans le temps du web. Pour éviter la lassitude, l'aquabonisme et/ou le sentiment de redite, je m'accorde un break conséquent. A plus loin si...

    Dans le jukebox:
    Abonné à la chaîne de Francosoul, je suis un r'n'b & soul fan comblé. Régulièrement, je découvre les titres rares que ce passionné puise dans une discothèque impressionnante. De Pauline Rogers, on ne sait pas grand'chose - pour le moment - mais j'ai propulsé I'm just a woman directement dans ma playlist du printemps.
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  5. Le blog est en vacances. Pour une transition en douceur teintée de mélancolie, un nectar de la cuvée 66, l'original de Summer Wine par Lee Hazlewood et Suzi Jane Hokom - avant la version "définitive" avec Nancy Sinatra - suivie de la reprise de Lana Del Rey et Barrie-James O'Neill d'une jolie tenue. Les chansons du grand Lee Hazlewood glissent avec une facilité déconcertante dans nos oreilles ravies - les miennes en tout cas -, pourtant elles sont délicates à interpréter comme tout ce que composait le maître de l'écriture pop. Dans cet exercice périlleux, Lana et son ex-compagnon s'en sortent plutôt bien.
    On se retrouve dans quelques temps. D'ici là, faites-vous du bien.

    Photos: Isabel Muñoz
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  6. Dans le Rock&Folk de mars, Nicolas Ungemuth consacre une recension à la réédition du premier album de Richard Hawley (2001). Il écrit:
    Nous avions la certitude d'assister à la naissance d'un truc extraordinaire. Hawley n'a pas déçu: il est devenu, pour beaucoup, le musicien le plus génial, des années post-2000. (...) Il y a quelque chose de résolument fifties dans l'esthétique de Hawley, mais ce serait trop simple: ce n'est ni Roy Orbison, ni Gene Vincent. Dans ses disques il y a de la guitare baryton, de la lap steel en pagaille (admirablement utilisée), beaucoup de reverb, de la batterie jouée aux balais, des guitares acoustiques, et des Gretsch dans des amplis Fender. Et puis, il y a le gros morceau: cette voix. Une voix proprement sublime de crooner sobre. (Hawley ne fait pas d'effets de manche comme chez Scott Walker, David Bowie ou Neil Hannon.) Son phrasé est monstrueux, le trémolo à peine audible, superbement dosé. C'est un chanteur infernal.

    Une petite note perso:
    L'autre jour, évoquant l'état du monde avec un ami devant un verre de pur malt, on réaffirmait ne pas vouloir mourir pour sauver la grande distribution, le politiquement correct et le multimédia dévoyé; en revanche, les chansons de Mister Hawley méritent qu'on se batte afin de pouvoir les écouter encore longtemps.
    Ashes on the Fire est celle que je préfère sur l'album Truelove's Gutter.

    Photo: William Eggleston
    L'expo au musée de l'Elysée est bien mais un peu chiche. On en reparle.
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  7. Mario est un crétin.
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  9. Teenage kicks par Sabine Weiss:
    Deux ados dans un terrain vague en 1950.
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    Et dans le jukebox. Charlie Feathers (1932-1998) était le rejeton d'une famille de métayers établis dans le Mississippi où il grandit imprégné de blues et de country, les deux sources majeures du rock'n'roll. Je le rappelle car l'importance de la country est encore trop souvent minorée quand elle n'est pas purement et simplement ignorée en raison d'à priori stupides et de clichés réducteurs. Happé par la musique, Charlie partit s'installer à Memphis où il enregistra un premier single dans le studio Sun de Sam Phillips qui l'édita sur un de ses labels (Flip Records) en 1955. S'il accompagna en tournée de grosses pointures telles Presley ou Perkins, Charlie n'obtint pas le même succès. Depuis le revival rockab' britannique du début des années 70 et aussi grâce à des fans obstinés devenus célèbres - les Cramps, Jeffrey Lee Pierce du Gun Club et même Bob Dylan -, il est aujourd'hui reconnu comme un talent majeur de la première génération hillbilly/country-blues.
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  10. Comme tous les grands cinglés du rock'n'roll, je croyais Kim Fowley immortel aussi quand j'ai appris sa disparition en janvier dernier, j'ai pensé qu'il nous jouait un nouveau tour à sa façon. Malheureusement, celui qui fut et restera un des parrains du punk rock a réellement tiré sa révérence à 75 ans, mais quelle vie ! Petit hommage pour15minutes en quelques billets auxquels je joins le titre Bubblegum.
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