1. Pour une séance de remise en jambes indispensable avant le retour du printemps, retrouvons le "roi du mambo" et son orchestre dans El Pachuco Bailarin.

    Sur les pachucos qui ont popularisé le zoot-suit - porté avec classe et humour par Cab Calloway -, on lira cette page. Dans les 80's, Kid Creole relança le style. En attendant le printemps, un peu de lumière encapsulée.
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  2. Grâce à Dsata, nous pouvons nous jeter aux pieds des actrices.
    Ici, June Knight
    Je vous donne le bonjour.
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  3. Martin Sheen et Dennis Hopper dans Apocalypse Now de Coppola sorti en 1979.

    (Au cinéma) Entre la réalité et la légende, il faut toujours choisir la légende.

    André S. Labarthe
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  4. Fin d'un monde, celui de Chandler: Hollywood Hills en 1957. Le ruban lumineux, c'est Hollywood Blvd.
    Source

    En contemplant cette photo, je me rappelle que les barbares détestent la musique, le cinéma, le rire, le rêve, l'humour, la beauté... Tout ce qui nous a sauvés et nous sauvera encore car nous savons nous réinventer.
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  5. Nos princesses exotica:
    Dolores del Rio par Steichen (1929)
    Des images de Voyage au pays de la peur / Journey Into Fear co-réalisé par Orson Welles - qui fut son amant - et Norman Foster.
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  6. On retrouve Louis Jourdan (1921-2015) en compagnie de Senta Berger dans un premier extrait de Peau d'espion réalisé par Molinaro en 1967 et dans un second  où Bernard Blier est bousculé par des freaks. On notera que le jukebox sort indemne de la séquence, un signe de savoir-vivre.
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  7. Port-Saïd en 1939 par Louis Brauquier, voyageur, poète, photographe.
    (Le paquebot est Le Bernardin de St Pierre.)
    Source

    Il y a la mer et ceux qui l'écrivent, les écrivains de Marine. Parmi eux, Olivier Frébourg, l'auteur d'Un homme à la mer (folio 4526), un récit aux embruns où il évoque Le crabe-tambour, un roman devenu un grand film, en ces termes:

    Je tiens "Le crabe-tambour" de Pierre Schoendoerffer pour l'un des meilleurs romans maritimes. Seul, je repasse souvent le film qu'il en a tiré, avec Rochefort, Perrin et Dufilho. Surtout la scène du début, l'appareillage de l'escorteur dans une aube grise, de Lorient. Un enseigne de vaisseau donne les ordres sur l'aileron de passerelle. Il suit une route dangereuse entre les coffres flottants. D'un coup, le pacha intervient: "Je prends." Il récupère la manœuvre, corrige la position de barre. "Merci, commandant", dit le jeune midship pour l'avoir sauvé d'une collision certaine. La réponse est d'un autre siècle: "Un officier n'a jamais à dire merci, ni à s'excuser devant un supérieur. Jamais ! C'est un de nos privilèges." (...) J'ai rencontré Schoendoerffer un jour au cours d'un déjeuner. Lui ai-je dit mon admiration ? Je ne m'en souviens plus. Nous siégeons tous les deux à un jury littéraire. Il porte un ceinturon de l'Armée rouge avec une étoile flambante au milieu. Il n'a lu aucun des livres sélectionnés. Mais il se lance dans des digressions et des commentaires pleins d'humour. On sent l'écrivain absorbé par son univers, indifférent à celui des autres. Cette insularité me plaît. Je ne force pas la conversation. Il a donné le meilleur de lui dans son roman.

    En quittant la salle où nous avions revu Le crabe-tambour* au milieu des années 80, des copains cinéphiles un peu gauchistes me dirent leur admiration pour le travail du romancier-cinéaste. Ce n'est pas le moindre mérite de Pierre Schoendoerffer (disparu en 2012) que d'être parvenu à séduire des spectateurs à priori rebutés par les sujets qu'il empoignait: la vie des officiers et des soldats, la fidélité et la trahison, la valeur de la parole donnée, les guerres coloniales,...

    * Sorti en 1977
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  8. Le graphiste Mike Joyce installé à New York est un petit malin. Il a eu la (bonne) idée de recomposer des affiches pour des concerts de rock historiques à la façon de l'école Swiss Style & Design qui fit florès des années 50 aux années 70. Un collègue a commandé des tirages. Il m'assure qu'ils sortent très bien sur un frigo, un mur ou tout autre support.

    Quelques affiches originales dans ce Swiss Style que le monde entier nous enviait. Cocorico !

    (Merci à Franck)
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  9. Par Michael Paul Smith
    Making Of
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  10. Un dimanche de 1930 dans le port de Tampa en Floride. La jeune femme, une "vieille" flapper (déjà !), est mélancolique. Elle sait que le temps de l'insouciance est mort l'année précédente.

    Cette photo de Clifton R. Adams donne envie de lire les poèmes de l'écrivain voyageur Henri J.-M. Levet découvert grâce à Jane.
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