1. Elvis vu par Alfred Wertheimer

    Dans le jukebox, Good For Nothin' par Scott Engel-Walker et Honey Don't de Carl Perkins.
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  2. Conrad Veidt dans L'homme qui rit/The Man Who Laughs, un classique du muet réalisé aux Etats-Unis en 1927-28 par le metteur en scène allemand Paul Leni. Ce film inspira le Joker de Batman dont Stephen King s'imprégna pour créer le clown infernal de son roman Ça/It sorti en 1986. Vous savez la suite.
    Le buzz navrant autour des clowns voraces - si seulement ils pouvaient bouffer tout cru une partie des crétins qui l'alimentent - révèle surtout l'infantilisation dans laquelle pataugent les réseaux sociaux.
    Il est temps passer au salon-fumoir discothèque pour la mise en bière.
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  3. La pauvreté de la plupart des propositions artistiques locales poussent à l'esquive sinon au désengagement devenu indispensable avant de glisser dans une dépression esthétique d'où il est chaque fois plus pénible de s'extraire. Aussi vais-je prendre un peu de champ*. Mais avant, j'ai envie de rendre hommage à celle qui est la muse pour15minutes depuis le premier jour. On la retrouve dans La tentation du docteur Antonio, le moyen métrage réalisé par Fellini pour le film à sketches Boccaccio 70. Faites-vous du bien et à plus loin.

    * Pour recharger mes batteries, j'ai fait une ample provision de livres, de films et de disques que je crois bons produits ailleurs, là où existe encore, même fragilisée, une véritable interaction réel/imaginaire. Ici, on vit des années creuses sans fond.
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  4. En haut: couverture d'un N° de Amazing
    En bas: Ed Emshwiller pour le N° de Galaxy d'octobre 1956. (fragments)
    Vers d'autres merveilles...

    Pour la b.o., je relaie une proposition pop thaï de Debout.
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  5. Fury Road, le 4e volet de la saga de Max le Dingue - toujours réalisé par George Miller après des années de reports dus à des galères diverses - est annoncé pour mai 2015 (la date précise est à confirmer) avec cette fois Tom Hardy dans le rôle du loner motorisé lancé à pleine vitesse sur les routes d'un monde post apocalyptique.
    Vous, je ne sais pas, mais moi je vais y emmener mon fils que la bande-annonce a épaté.
    Le trailer
    La bande-annonce

    (Captures d'écran)
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  6. Le webzine (français) Vacarm m'apprend la sortie d'un album du duo écossais The Vaselines qui connut son moment de gloire à la fin des années 80 avant d'entrer dans une très longue hibernation. Vous n'en avez rien à battre ? Moi non plus, mais je laisserai tout de même une chance à High Tide Low Tide qui tiendra son rang dans la discothèque entre les Barracudas, surf-pop punkers pour rire, et les Ramones, godfathers indiscutés. Comme le disait un ami à l'époque, le rock doit toujours être (un peu) bête, libre et glorieux. Ce titre satisfait les trois exigences.

    Photo: Thomas Ruff, Interior 1B, 1980
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  7. Elsa Martinelli et Trevor Howard dans Stowaway Girl (1957)

    Sur la b.o., Tom par Helena Noguerra. A touch of french pop.
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  8. Impossible de résister au plaisir de partager ces deux pochettes proposées par Yaya qui a joint à son envoi un titre soul de The Legendary Tigerman, un sujet portugais remuant ici en compagnie de Lisa Kekaula.

    Note: Il faut patienter quelques secondes avant le début du morceau.
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  9. On peut se saouler de titres be bop, blues, rythm'n'blues, boogie ou jazz - tous de haute époque, off course - sur ce blog remarquable. Ses sélections "pied jaloux" à écouter en ligne ou à télécharger sont autant de petits remparts sonores contre les assauts de la laideur et de la bêtise dans la musak mondialisée.

    L'illustration est de McGinnis.
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  10. Sur la b.o., nos copines The Cookies chantent Softly In The Night.

    Je viens de recevoir Chains/The Dimension links 1962-164, une compilation éditée par RPM Retrodisc. Rien ne vaut une douche sonore par ce trio pop suprême pour ragaillardir l'âme du vestige analogique.
    Pourquoi The Cookies suscitent encore un tel engouement chez les amateurs de pop-soul ? Elles furent en quelque sorte le mètre étalon du concept de girl group à la fin des années 50 et surtout au début de la décennie suivante et leurs interprétations des titres composés par le redoutable duo hit maker Carole King et Gerry Goffin ont un petit quelque chose de plus que celles de leurs consœurs. Les Cookies furent aussi les choristes de Ray Charles sous le nom The Raelettes.

    Photo: Catherine Gauthier
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