1. Pensez à aérer votre Dalek. Si c'est possible, faites-le en musique, il appréciera*.
    Lui, c'est certain, vous, je ne sais pas... Parfois, je ressors un truc new wave pour constater les ravages ou, plus rare, la bonification causés par les années. J'avais déjà déposé un morceau de Dalek I Love You, ce groupe de "synthpop" formé à Liverpool juste avant le punk rock qui eut - avec Kraftwerk - une influence majeure sur ses membres. Visuellement, leur démarche était intéressante avec un soin particulier accordé à la conception des pochettes d'albums.

    Source photo: des pages pop culture qui font du bien.

    * En 1964, The Go-Gos comme une grande partie du public britannique étaient complètement Dalek !
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  2. Après celle mettant en valeur Les Chalets, voici la pochette de la semaine qui embellit l'album From Sea To Ski de nos nouveaux amis The Glaciers - logique - découverts sur l'excellent blog Surfadelic où l'on peut écouter deux titres de l'album et toutes sortes de musiques, de l'easy listening sous acide au surf punk le plus débridé. (Cette chronique atteint des sommets.)
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  3. Yaya a quitté son maquis pour glisser dans ma boîte @ mails cette photo accompagnée d'un chouette titre soul gravé par E.J. & The Echoes, un groupe de Detroit qui a enregistré une poignée de singles entre 1965 et 1970, année de sa dissolution. Si vous possédez un 45t de ces soulmen de (l'ex) Motor City, conservez-le soigneusement car la cote de certains de leurs titres atteint 200 dollars.

    Note: A la relecture, le paragraphe consacré au problème (régional) de la dépression artistique affectant des créateurs talentueux m'a paru hors-propos. Je l'ai retiré.
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  4. Gordon Parks, Backstage in New York Nightclubs - années 50.
    Pour les vieux roses un peu fanés et les fragrances mêlées - sueur, parfums et poudre de riz - qui imprègnent les loges.* Faut-il aussi employer l'imparfait pour parler de l'ambiance des coulisses dans les théâtres et les boîtes de nuit post modernes ? Je ne les fréquente plus depuis des années, mais j'espère qu'elles n'ont pas été "javelisées" comme tant de lieux singuliers.

    * Jean-Jacques Schuhl n'a-t-il pas écrit quelque chose sur ces lieux à l'atmosphère unique ? Dans Ingrid Caven peut-être... Il faudra vérifier.

    Dans le jukebox: Gene Vincent avec Lotta Lovin'

    Source: archives Life
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  5. Maurice G. Dantec, Les Résidents aux éditions Inculte, 2014.
    Radio On: état des lieux et bilan de santé.

    Sur la b.o.: Saturn Drive d'Alan Vega, un morceau "dante(c)sque". Il figure sur l'album Saturn Strip (1983). Aujourd'hui, c'est le disque du frontman de Suicide que je préfère. Electro-chamanisme.
    (Play it loud !)
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  6. La vraie vie par Stanley Borack, un maître de l'illustration pulp.
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  7. Façades et vitrines par Stephan Vanfleteren

    Pour accompagner ces fragments de rues belges dévastées, l'implacable constat de Télex: We Are All Getting Old. Electrö et pataphysique.
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  8. On retrouve Salma Hayek en Santanico Pandemonium, vampire et danseuse exotica, dans une séquence - la meilleure ? - de From Dusk Till Dawn/Une nuit en enfer réalisé par Robert Rodriguez d'après un script de Quentin Tarantino. Sur les écrans en 1996.

    + Un lien actif vers Electrify Me, un chouette titre par The Plugz, la première formation punk pop de Tito Larriva qui forma ensuite Los Cruzados avant de se réinventer avec Tito & Tarantula dans la séquence ci-dessus. Merci à Debout d'avoir exhumé le single.
    A la fin des années 70 et au début de la décennie suivante, L.A. fourmillait de groupes qui tentèrent d'encapsuler l'énergie punk sous une couche mélodique pop rock ou même country rock. En reprenant le flambeau allumé par Love et Big Star, The Nerves*, un trio inspiré à la trajectoire fulgurante, réinventa le genre qui fit florès jusqu'à l'irruption du grunge rock.

    * Il était formé des talentueux Jack Lee, Peter Case (The Plimsouls) et Paul Collins. (The Paul Collin's Beat)
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  9. Alice à Prague par Stéphane Coutelle.

    Sur l'auto-radio, elle écoute Fire de Bruce Springsteen dans la version des Pointer Sisters*. Pour la petite histoire, le Boss avait tout d'abord offert la composition à Robert Gordon, le rocker à la banane en plomb qui grava la première version sur vinyl l'année 1978. J'aime bien les deux interprétations. Une bonne mélodie peut encaisser toutes sortes de traitement.

    * Le trio mélangeait les cases et brouillait nos cartes. En enregistrant des albums imprégnés de funk, de rock et même de country-rock, les filles démontrèrent la perméabilité de la musique pop(ulaire) aux USA. Elles lancèrent de solides passerelles entre les genres et "déniaisèrent" les jeunes rockers que nous étions au début des 80's.
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  10. Dans les coulisses du cabaret le Sphinx à Pigalle en 1956 par Frank Horvat.

    Le lupanar homonyme, chic et exotique - que sont devenues les fresques peintes par van Dongen ? - situé dans le 14e arrondissement avait été fermé en 1946 après la votation du projet de loi déposé en décembre 1945 au Conseil municipal de Paris par Marthe Richard surnommée la "Veuve qui clôt". On apprit par la suite que celle qui se présentait comme une espionne et une grande résistante soucieuse de morale et de santé publiques avait elle-même tapiné et ne pouvait justifier certaines relations entretenues durant l'Occupation. (De plus, anglaise par mariage, son élection au municipal était illégale !)

    Sur la b.o.:
    Quelques saisons plus loin, M'sieur Serge mettait L'eau à la bouche des Français pour le film de Jacques Doniol-Valcroze. Un demi-siècle après les sessions d'enregistrement, je reste bluffé par la qualité de la prise de son - certains titre sont en mono - et la sobre élégance de la production artistique jazzy-exotica des premiers albums. A la fin des années 50, les techniciens étaient parvenus à une maîtrise du son inégalée compte tenu des moyens de captation à leur disposition.

    Source: La France d'avant en photos, une jolie idée de blog.
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