1. Jane Fisher, Swimsuit Competition et She Fell 

    Via, un blog consacré aux figuratifs américains du XXIe siècle.
    Sur la b.o.: 
    Teho Teardo et Blixa Bargeld, Crimson and Clover
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  2. Jeune femme à la terrasse d'un café viennois en 1961 par Kees Sherer.
    La rue semble paisible et elle l'est certainement. Un café, une cigarette... Elle n'attend personne. Elle s'offre juste une pause. Atmosphère oubliée, monde englouti.

    Source, une mine iconographique pop, fashion, cinéma, etc.
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  3. La pochette de la b.o. de la série Johnny Staccato avec l'impeccable John Cassavetes en privé pianiste de jazz donne envie de revoir le premier épisode de cette production exemplaire où Staccato tente de mettre fin au chantage exercé par le patron d'un journal à scandales sur un jeune chanteur. Il avait été diffusé dans le cadre de l'inégalé Cinéma Cinémas.
    Rendez-vous chez Waldo's.

    (Merci à Yaya)
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  4. J'ai retrouvé Blue Suede Shoes, le doc' britannique de 1979 sur la seconde génération Teds & rockab' dont nous causait Debout. Effectivement, c'est de la bonne came. Avec une mention pour la prestation de Ray Campi and his rockabilly rebels.
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  5. Folie d'Opium - YSL n'a rien inventé - et Le Lilliputien.

    J'ai trouvé la charmante illustration et la pub ancienne dans les pages flickr d'un internaute néerlandais. Take A Dream...
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  6. Pour pimenter le dimanche après-midi, un moment de la semaine particulièrement propice aux retours soniques vers le futur frôlés par l'aile de la mélancolie - on ne se refait pas, à quoi bon ? -, je vous propose de retrouver Little Richard, un des meilleurs performers de l'histoire du rock'n'roll, Gene Vincent un peu rocker lunaire, un Jerry Lee Lewis survolté comme d'habitude ou encore Eric Burdon and The Animals. Que l'internaute qui a retrouvé l'émission originale (1964) soit loué ! Des extraits étaient déjà visibles sur YT, mais je ne savais pas qu'ils provenaient de ce show. Et puis j'aime bien le générique de début à moto.
    Vous vous installez dans votre meilleur fauteuil avec tous les additifs nécessaires à portée de main et vous envoyez Don't Knock The Rock !

    PS: Le son et l'image ne sont pas parfaits, mais l'énergie contenue dans cette capsule compense largement les petits inconvénients.

    Note du 30 août:
    Le show date de 1964, une année charnière dans la toute jeune histoire du rock'n'roll. La génération Gene Vincent, celle des pionniers, traverse une mauvaise passe. S'ils veulent durer ou revenir (déjà !), ils ne doivent pas succomber aux gimmicks oubliés à peine lancés par les boîte de comm' qui façonnent l'image de starlettes à teenagers. Ils affrontent la double offensive du british beat (Them, Animals) et du rock-pop (Beatles) qui va les figer dans leur posture aussi durement que la laque fixe les bananes. Pendant deux ans, la modernité rock est du côté des Mods justement, gavés de soul et d'amphets. Jerry Lee Lewis et Little Richard refusent d'abdiquer face à la double dictature. La sauvagerie maîtrisée, ce moteur des grands showmen rock'n'roll, a fait leur succès; elle le refera demain. Ils se retirent un peu mais n'arrêtent pas de composer et de tourner. Ils jouent dans des salles indignes de ce qu'ils furent ? Ils jouent, c'est tout ce qui compte, croisant de jeunes types qui montent sur scène sapés comme des caissiers endimanchés ou des clergymen. La traversée du désert sera longue, jusqu'au milieu des 70's, quand Dr Feelgood - ces mêmes types croisés dans des patelins obscurs -, Ducks Deluxe et Eddie & The Hot Rods donneront envie à une nouvelle génération de faire une descente aux archives soniques. Et là...
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  7. (Photo: RC)
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  8. Joost Swarte, Ever Meulen et Daniel Ceppi.
    Quand les dessinateurs de mickés mettaient leur talent au service du rock'n'roll. Ça se passait à Genève dans les années 80.
    Source

    Les années 80 ne sont pas si éloignées, pourtant au vu de ces affiches, c'est un autre monde. Depuis, les niveleurs de l'art post moderne ont voulu liquider les notions de technique, de style et d'harmonie. Sur nos murs aujourd'hui, on voit le résultat de trois décennies de nihilisme appliqué à ce qu'on appelait encore les Beaux-Arts.
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  9. Bon voyage !

    Dans sa valise, l'intrépide voyageuse a glissé le réjouissant Journal d'un étranger à Paris de Malaparte réédité  en poche à La Table ronde.
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  10. J'allais déposer un lien vers The Buddy Holly Story une série B de 1979 dirigée par Steve Rash pas honteuse du tout, bien au contraire, consacrée à la carrière météorique du kid de Lubbock (Texas). Buddy est interprété de façon remarquable par un Gary Busey* qui a su éviter le piège de la doublure hyperréaliste. Les fans de l'acteur assurent que c'est une de ses meilleures prestations. Problème, il vient d'être retiré, une histoire de droits comme d'hab'. Me voilà bien. Il va falloir se contenter de cet extrait et de celui-là.

    Sur la b.o., je n'ai pas choisi une composition de Buddy Holly mais cette interprétation étonnante du standard fameux de Johnny Kidd, Shakin' All Over.

    * Busey a enregistré les classiques de Holly, un pari risqué dont il se tire plus qu'honorablement.
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