1. Just another rainy night
    Par Martin Munkacsi

    Pour aller avec, j'avais envie de réentendre la version de Dusty Springfield (1969) du classique de Michel Legrand. Surtout ne me demandez pas pourquoi: aujourd'hui il a plu aussi à l'intérieur des têtes.
    Je vous donne le bonsoir.
    0

    Ajouter un commentaire



  2. Par Bruce Minney

    Pour l'accompagner, cette Black Night chantée par Miss Cheryl Thompson - dont j'apprends qu'elle a fait carrière dans les casinos du Las Vegas de la grande époque (période Rat Pack et tout ça) - me semble très bien.
    Merci à Debout de cette découverte ou redécouverte.
    2

    Afficher les commentaires


  3. Ça ne s'invente pas. Faut-il ajouter le libellé plastique pour plastic people ? C'est fait.

    Note : Dans certains cantons de Suisse romande (francophone), les anciens utilisent encore l'expression "ça va le chalet ?" dans le sens "t'es tombé sur la tête ?" à laquelle ils ajoutent "ou bien", ce qui donne ça va le chalet ou bien ? L'expression pourrait avantageusement remplacer le trop prévisible et bouffé aux mites "Y'a pas le feu au lac" que des Parisiens sans imagination emploient systématiquement lorsque vous leur dites que vous venez de Suisse romande. ;)
    2

    Afficher les commentaires




  4. - Allo ?
    - Ne quittez pas, c'est votre amant de Bornéo !

    Arletty, princesse exotica ? En attendant la décision, on verse cette séquence au dossier.
    A propos d'exotica-tiki, des proches m'ont signalé récemment l'exposition Tiki Pop au Musée du Quai Branly. Je les ai remerciés en leur répondant que je ne connaissais aucune ville moins tiki que Paris, par conséquent je n'irai pas visiter l'affaire. Il lui manque cette touch of cool sans laquelle on ne peut prétendre s'adonner aux plaisirs exotica pop dans un bon esprit (tiki). Ce n'est pas grave car la capitale française offre bien d'autres ressources et trésors artistiques. De toute façon, le tiki est un continent englouti - a lost paradise fantasmé - dont les vestiges souvent virtuels n'ont rien à faire dans les salles d'un musée.

    La pin up est de Al Buell.
    5

    Afficher les commentaires


  5. Chez René tout est bon, jusqu'à l'orgue Hammond.

    Yaya
    0

    Ajouter un commentaire


  6. Nos copines flappers ont réussi à tirer leurs compagnons fêtards du lit pour une pic-nic party au bord du....*, là où elles firent leurs premières galipettes.
    Bon dimanche.

    * Ajoutez le fleuve (ou la rivière) que vous aimez.
    3

    Afficher les commentaires


  7. La radio KEXP implantée dans la bonne ville de Seattle recevait le 3 juillet dernier Mark Lanegan sobrement accompagné de deux complices - un à la guitare acoustique et l'autre à la six cordes électriques - pour quatre morceaux on air.
    Belle soirée

    PS: Accompagner sans l'écraser ou la noyer cette voix qui peut passer du chuchotement à la déclamation dans un même morceau est une prestation délicate. Les deux guitaristes s'en tirent plutôt bien.
    2

    Afficher les commentaires


  8. Par Georg Oddner
    2

    Afficher les commentaires


  9. RoboPro par Ralph Reese vu sur le blog The Bristol Board découvert grâce à Jhalal Drut.
    Pour la b.o., il faudrait de l'électro-funk. Des suggestions ? You're welcome.

    1) Yaya nous propose Datakult avec Final Download le bien nommé.
    0

    Ajouter un commentaire



  10. Si en période normale (et à jeun), je ne lis que très rarement des magazines tels L'Express, Le Nouvel Obs ou Madame Figaro - où Neuhoff a un temps publié quelques bons papiers -, je profite des vacances pour m'offrir une revue de presse on the beach grâce aux suppléments édités pour les mois chauds par ces titres "grand public".
    Ainsi dans son N° spécial consacré à l'été 1944*, L'Express nous refile un entretien de 1994 avec Samuel Fuller qui débarqua sur Omaha Beach ou 'bloody Omaha' le 6 juin 44 au sein de la 1ère division d'infanterie US (The Big Red One). Extrait:
    Quand des soldats envahissent un pays, ils se foutent de savoir où ils débarquent. Pendant toute la guerre, on ne savait jamais où on allait. On ne voulait pas libérer qui que ce soit. Notre job, c'était de tuer des nazis. Bien sûr, les gradés, les petits chefs nous ont fait des discours sur la grandeur de notre entreprise. La liberté, la démocratie. Fuck ! On ne voulait libérer personne. En Sicile, en Normandie, partout, on se foutait de là où nous étions. Nous faisions la guerre. Et la guerre, c'est "Kill, kill, kill". Six, sept minutes, voilà ce que dure une bataille. Le reste, c'est de l'attente. Et la frousse. Tes pieds sentent, les mains font mal, les tripes s'échauffent. Les soldats n'écrivent pas de lettre à leur maman. Ils marchent, ils bouffent, ils dorment, ils chient. Rien de plus. (...) Il ne faut penser qu'à une chose: se couvrir du feu ennemi. Si tu n'es pas obsédé par ça, si ça n'est pas comme une machine qui se déclenche dans ta tête, t'es mort. Rien à voir avec les films de guerre. D'ailleurs, je le dis souvent: dans les films de guerre, il faudrait qu'il y ait un type derrière l'écran qui tire sur le public avec un fusil-mitrailleur.

    Geo Histoire de juin/juillet traite aussi du D-Day et de l'âpre bataille dans le bocage normand. Je l'ai acheté pour le choix des photos, surtout celles de Robert Capa débarqué avec les premières vagues à Omaha et dont le reportage fut bousillé par un maladroit en laboratoire. Quelques clichés ont néanmoins pu être sauvés. Ils sont publiés en grand format agréable dans ce N° spécial dont on nous annonce une suite (pour août ?). J'ai choisi une photo à la fois bucolique et inquiétante prise par Capa près de Saint-Lô où des unités allemandes s'étaient fortement retranchées. Sept soldats américains en tenue de camouflage guettent et attendent...

    Source: Robert Capa/Magnum

    * Ils ne se sont pas trop foulés, se contentant de compiler des articles et des interviews anciens dans une présentation liftée.
    0

    Ajouter un commentaire

Archives du blog
Archives du blog
THE WEIRD THE STRANGE THE BEAUTIFUL
THE WEIRD THE STRANGE THE BEAUTIFUL
THE WEIRD THE STRANGE THE BEAUTIFUL
JOURNAL UN PEU COUTURE SUR LA POP & ROCK CULTURE
Qui êtes-vous ?
Qui êtes-vous ?
Chargement en cours
Thème Affichages dynamiques. Fourni par Blogger. Signaler un abus.