1. ... Sont fatigués.
    L'animateur de ce blog également.

    Pour mettre un peu de baume sur leurs blessures et les miennes, rien ne vaut un titre soul comme ce Don't You Ever Get Tired Of Hurting Me ?  porté par Bettye Swann.

    0

    Ajouter un commentaire



  2. J’me souviens d'un coin de rue 
    Aujourd´hui disparu
    Mon enfance jouait par là
    Je me souviens de cela
    Il y avait une palissade
    Un taillis d´embuscades
    Les voyous de mon quartier
    V’naient s'y batailler

    Comment ne pas glisser dans la mélancolie quand chaque jour - ou presque -, on nous apprend la disparition d'un(e) grand(e) vivant(e)...
    Au revoir, Micheline Dax.
    0

    Ajouter un commentaire

  3. Nous avions deux cinéastes pour représenter cette société des seventies où nos cousines avaient des robes à smoke, nos mères des mini-shorts et des lunettes de soleil remontées dans les cheveux et nos père d’incroyables cravates à motif avec des costumes rouille à pattes d’eph et des bottines à talonnettes qui leur donnaient une allure folle quand ils sortaient des R12 TS à siège baquet. Les deux cinéastes s’appelaient Sautet et Lang.

    Jérôme Leroy consacre un article* mélancolique mais sans pathos à Michel Lang parti le 24 avril. Avec lui, c'est un autre canton de notre jeunesse qui fout le camp. 

    * Nécro(logie) est vraiment trop laid.
    1

    Afficher les commentaires


  4. Qui habite les songes ne meurt jamais.

    Georges Schéhadé, poète libanais francophile découvert grâce à Jean Lacouture qui fut son ami. Ses écrits m'ont aidé à tenir pendant les années creuses.
    Je recommande Les poésies rééditées dans la petite collection Poésie/Gallimard.
    (A qui ai-je prêté ou offert mon exemplaire ?)

    Photo: Hannes Kilian
    2

    Afficher les commentaires


  5. Une sieste avec Marlene
    Des rêves en papier mâché

    A plus loin

    (Source photo: Anorak)
    0

    Ajouter un commentaire




  6. Sur la compilation Country Soul Sisters éditée chez Soul Jazz Records, je joue en boucle le mélancolique Saunders Ferry Lane enregistré par Sammi Smith au tout début des années 70. Née en Californie, la demoiselle grandit dans l'Oklahoma où elle commença à chanter dans les clubs dès l'âge de 12 ans. Elle fut repérée par Johnny Cash qui poussa Columbia à la signer. Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. (Et la pochette est sympathique.)

    PS: Un jour, un amateur pointu de rockab' m'a dit "tu verras, dans quelques années, quand le rock et la pop auront été lessivés, les derniers rebelles se tourneront vers le hillbilly, la country ou le funk rural, ces genres infréquentables aux beaux esprits." Je ne me suis jamais pris pour un outlaw mais il avait raison sur un point: avec l'âge, j'apprécie des plaques que je n'aurais pas écoutées il y a 10 ou 15 ans. Des compilations comme celle-là m'aident à mieux cerner les artistes dont les compositions et les reprises résonnent bien sur la b.o. de ma cinquantaine largement entamée. Ailleurs et avec dix ans de moins (pour la niaque), j'aurais lancé la production d'une série documentaire incarnée à partir des pistes explorées par Max Décharné à qui j'aurais proposé un poste de consultant. Ici, ces genres musicaux ne rencontrent quasiment aucun écho. On n'a pas la masse critique permettant le montage financier d'une production audio-visuelle traitant de tels sujets. (Je me suis vautré avec des propositions de thèmes beaucoup plus mainstream.) Mais en Grande-Bretagne, aux Pays-bas ou même en Allemagne, un jour peut-être, des esprits curieux, c'est-à-dire moins formatés que les pseudo hipsters post modernes - pas fichus de connaître l'origine du terme hipster - auront l'envie et surtout l'énergie d'initier une aventure visuelle et sonore sur ces musiques à "mauvaise réputation".
    7

    Afficher les commentaires


  7. Miss Mansfield et son flamant rose.

    Le scan est tiré de Ultra Blonde: Mae West, Jayne Mansfield, Kim Novak, Carroll Baker par Didier Grandsart aux éditions Nicolas Chaudun.
    L'auteur a rassemblé dans ce livre glamour quelques uns des plus beaux clichés de sa collection de photogrammes, des coupures de presse, des photos de plateaux et du matériel promotionnel, le tout agrémenté d'éléments bio et filmographiques.
    Futile... Indispensable !
    0

    Ajouter un commentaire


  8. On fait une pause avec les Radio City Rockettes, la troupe légendaire de chorus girls à laquelle la revue Anorak rend hommage.

    Bonne fin de ouikend pascal et à plus loin.
    0

    Ajouter un commentaire


  9. La RDA, cette Allemagne au rictus figé comme on la surnommait alors, était plus riante dans ses représentations promotionnelles en couleur. Le Musée historique allemand de Berlin propose une sélection de clichés tirés du fond d'archives de Kurt Schwarzer et Martin Schmidt, deux photographes officiellement mandatés pour mettre en images séduisantes la cuisine, les loisirs et d'autres réalisations édifiantes de la RDA.
    Colour For The Republic est à voir jusqu'au 30 août 2014.

    Photo: Kurt Schwarzer, Paar mit Moped vor dem Kraftwerk Vockerode, image pour la couverture du magazine féminin Für Dich, 1963.
    0

    Ajouter un commentaire

  10. Les godelureaux sont branchés sur une radio fantôme qui joue des 45 tours de rythm'n'blues et de soul comme le Voodoo Voodoo de Lavern Baker, un titre à l'arrache qui vous met le feu aux miches. Je l'ai peut-être déjà déposé* (?) C'est pas grave. 
    Belle nuit !

    * Il y a deux ans.
    6

    Afficher les commentaires

Archives du blog
Archives du blog
THE WEIRD THE STRANGE THE BEAUTIFUL
THE WEIRD THE STRANGE THE BEAUTIFUL
THE WEIRD THE STRANGE THE BEAUTIFUL
JOURNAL UN PEU COUTURE SUR LA POP & ROCK CULTURE
Qui êtes-vous ?
Qui êtes-vous ?
Chargement en cours
Thème Affichages dynamiques. Fourni par Blogger. Signaler un abus.