1. Quelques reflets de la carrière protéiforme de Hanne Wieder (1925-1990), une artiste allemande que l'on remarqua à l'écran, sur disque, à la télé et sur scène.
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  2. Je planchais sur un billet à venir concernant l'art contemporain, l'or et la merd(r)e inspiré du chapitre des Derniers jours de Jean Clair intitulé L'ordure quand ma chère et tendre me fit parvenir la relation d'un fait divers qui s'est déroulé dans un musée italien mettant émoi le milieu de l'art content pour rien.

    Support your local heroes !

    (Photo: Shorpy)
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  3. Frankie, les girls, Yaya et votre serviteur vous donnent le bonsoir.
    A plus tard.
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  4. Greg Dulli, un vieux complice de Mark Lanegan avec qui il a sévi sous le nom des Jumeaux Caniveau, réactive ses Afghan Whigs. Le produit des sessions studio est Algiers, premier extrait convaincant de l'album Do The Beast* vu et entendu sur le blog de Dawidge.

    *Sortie prévue en 2014.

    Photos: Robert Farber
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  5. Belinda Lee dont la vie - 25 printemps - fut coupée net sur une route de San Bernardino (Californie) le 12 mars 1961. Pourvue d'une solide formation théâtrale, elle avait été découverte en Grande-Bretagne par la Rank dans les années 54-55.

    Dans une séquence de The Big Money avec Ian Carmichael en 1958.
    Source photo
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  6. Le démon de la hifi
    Source

    Jim Linderman, animateur de l'excellent blog Vintage Sleaze où j'ai vu cette illustration, a déposé un lien vers un article dans lequel il révèle la participation de Bettie Page à une séance de photos pour le magazine Whisper où elle posait avec des accessoires empruntés au rituel du Ku Klux Klan "pour le plaisir des lecteurs mâles" de la revue.
    Extrait:
    The photos ran in Robert Harrison’s Whisper Magazine in 1953. Harrison was a publisher of numerous girlie magazines, and Whisper was the most graphic of the lot. The model appeared in Harrison magazines frequently, but they are certainly not the best known examples of her modeling sessions. Most were fairly goofy, harmless underwear layouts which men masturbated to. As she is masked and unidentified in this offensive and logic defying spread, scholars and collectors have missed it for decades. Author Henry E. Scott, who documented Robert Harrison’s scandal magazine Confidential knew of the shoot… but apparently had no idea it was Bettie. In his book Shocking True Story Scott writes  “…he had his first brushes with the law, ranging from a relatively minor arrest for photographing half-naked models posing as Ku Klux Klan members on a New Jersey golf course…” You see the results here. I need not document the Klan, nor elaborate on whether the layout was bad judgment. The photos speak for themselves, from the past, just like a dead celebrity. Bettie Page, Southern girl, posing as a Klan victim for the delight of the male consumers of Whisper Magazine.

    Il ne s'agit pas d'accabler rétroactivement Bettie, c'est si facile 65 ans plus loin bien au chaud dans les pantoufles du confort intellectuel et post moderne, mais j'ajouterai une remarque: alors que notre pin up préférée se laissait photographier en triste compagnie sous de peu reluisants accessoires, Hugh Hefner qui fut son ami lançait quelques années plus loin un talk show télé dans lequel il invitait "simplement" des musiciens et des acteurs noirs contre les préjugés d'une partie importante de ses contemporains.
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  7. La craquante Natalie Wood - ici en compagnie de l'icône du burlesque Gypsy Rose Lee - est le sujet du doc' Trop jeune pour mourir diffusé ce soir sur Arte à 22h50.

    Note du 23 février:
    J'attendais au moins un éclairage un peu neuf sur sa relation sado-maso avec Wagner - ils se sont mariés deux fois - achevée tragiquement lors d'une sortie en mer; à la place, j'ai subi un biodocumentaire vaguement  hagiographique qui déroula platement la carrière et la vie de Miss Wood.
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  8. En guise de post-scriptum au billet sur les Mémoires de George Sanders, je dépose la bande-annonce pour (The) Village Of The Damned réalisé par Wolf Rilla, un film à l'origine de cauchemars qui perturbèrent les nuits de votre serviteur après sa première diffusion télé.
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  9. Chaque âge possède sa Madame Pompadour, sa Lady Hamilton, sa reine de Saba, sa Cléopâtre, et je ne serais guère surpris si l'Histoire sélectionnait Zsa Zsa Gabor comme le prototype pour le vingtième siècle de cette coterie triée sur le volet. Je n'ai jamais à proprement parler "rencontré" Zsa Zsa. Nous sommes entrés en collision aux Bermudes, à Nassau, à Cuba, à Hollywood, et finalement à Las Vegas où elle entra en collision avec un prêtre, lequel mit fin à toute cette absurdité en nous faisant nous passer une alliance au doigt. Zsa Zsa était comme du champagne, et moi en tant que mari j'avais toutes les peines du monde à me conformer à son degré d'effervescence. Je trouvai la communication avec elle aussi difficile que la collision était facile. (...) Après notre divorce, Zsa Zsa et moi pûmes jouir d'une relation beaucoup plus harmonieuse. Nous mous entendions infiniment mieux en tant qu'amis qu'en tant que partenaires dans le mariage.

    George Sanders raconte avec le même détachement goguenard et aristocratique son statu de compagnon à coquetèles de Zsa Zsa - qui le trompera à Paris avec le playboy international Porfirio Rubirosa -, les conditions improbables du tournage de "Voyage en Italie" sous la direction d'un Roberto Rossellini plus friand de spots de plongée sous-marine que de scripts cohérents ou encore la mort subite de son vieux complice Tyrone Power sur le plateau de "Salomon et la reine de Saba" en Espagne.
    Celui qui choisit de mettre fin à ses jours car il ne supportait plus son état de dégénérescence physique et mentale laissa un billet ainsi rédigé:
    Je m'en vais parce que je m'ennuie. Je sens que j'ai vécu suffisamment longtemps. Je vous abandonne à vos soucis dans cette charmante fosse d'aisances - bon courage.

    Traduit avec doigté par Romain Slocombe, ce récit autobiographique a été publié en 2004* aux Presses Universitaires de France. Enrichi d'une présentation, d'un épilogue et de la filmographie complète de Sanders, il figure parmi les livres les plus honnêtes écrits sur le 7e Art et ses modes de vie.
    Bon ouikend

    * J'ai déniché mon exemplaire aux "puces" de Genève il y a quelques jours. Mieux vaut tard...
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  10. Le temps embellit-il vraiment les décennies passées ? La réponse, ou plutôt une réponse, celle de Amedeo Minghi avec Decenni, sa chanson mélo-mélancolique sur les années 60. Un petit plaisir clandestin... jusqu'à aujourd'hui.
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