1. Leslie Caron
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  2. Dimanche prochain, la séance du ciné-club pour15minutes sera consacrée à Ocean's 11, l'original, avec le Rat Pack élargi. Are You Ready ?
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  3. Par Robert Doisneau dans les années 50
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  4. Au cinéma et dans les séries qu'on aime, le concept de girl next door est une aberration qui finit immanquablement par buter sur un problème de bourrelets. Quand Diana Rigg fut remplacée par Linda Thorson en octobre '67*, cette substitution fut vécue par les fans comme une trahison. Une fois encore, le navrant pseudo-réalisme triomphait de l'exigence esthétique et du besoin de romanesque. Elle était mignonne Linda et à priori on n'avait rien contre sa jolie frimousse mais elle n'a jamais pu se défaire de son air godiche malgré tous les efforts de relooking de la prod' pour la modeler en pop girl next door. Il lui manquait cette touche de grâce qui a fait de Diana/Emma une des icônes absolues de la seconde moitié du XXe siècle.

    * The Avengers/Chapeau melon et bottes de cuir.
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  5. Il y a quelques jours j'ai reçu de Yaya une reprise - ou plutôt une adaptation - de La Javanaise par sweet Honor Blackman, un truc vraiment classieux et un prétexte pour déposer des pochettes comme on les aime.
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  6. Wayne Thiebaud, Girl With Ice Cream Cone (1963)
    La première glace pop de la saison.
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  7. Under The mango Tree dans la b.o. de Dr. No. Pour un réveil en douceur des vieux rockers.
    Source photogramme
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  8. Vinona poussa le volume de la radio à fond quand elle reconnut les premières mesures de The Way I Walk par Robert Gordon avec l'irremplaçable Link Wray à la six cordes. Je trouve que le duo Gordon/Wray fonctionnait très bien parce que Mister Wray savait "salir" de son fameux son surf-trashy une production sans lui trop polie. Les Cramps, fins connaisseurs des aventuriers soniques, vénéraient ce pionnier du rock'n'roll punk instrumental.
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  9. Deux époques dans la vie de la salle de danse conçue pour Le Bal de Ettore Scola sorti en 1983.
    L'année précédente j'avais assisté à une représentation époustouflante de Kontakthof de la Cie Tanztheater  de Wuppertal dirigée par Pina Bausch. J'ai retrouvé dans le film des ambiances et des mouvements chorégraphiques inspirés du travail de la créatrice allemande. Jamais la danse contemporaine n'a été aussi prégnante que durant la première moitié des années 80.
    Entrez dans la danse...
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  10. Pourquoi BB ? Parce que Brigitte Bardot - Plein la vue, l'essai biographique ET critique très enlevé de Marie-Dominique Lelièvre chez Flammarion est sans doute le meilleur titre écrit à ce jour en France sur l'icône.
    J'ai aimé son livre car c'est le fruit de l'enquête d'une passionnée qui a su raison garder. Si dès les premières lignes Marie-Dominique Lelièvre nous parle de BB comme de sa déesse, elle n'occulte aucun des aspects et des choix les moins glamour de l'objet de sa passion*. On en reparle plus longuement dès que possible.

    * Olivier m'a rapporté le bel aplomb avec lequel l'élégante biographe a défendu son livre et son idole face aux deux chroniqueuses bêcheuses chez Ruquier. 
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