1. De Yaya:
    Only For Dreamers
    From Generazioni e "Pick-up" (pour les pochettes)
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  2. Giorgia O'Keeffe, artiste motorisée par son ami le peintre Maurice Grosser en 1944. Comme le dit l'auteur du commentaire: It's an amazing image that celebrates denim, machine and the joy of open road.
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  3. Françoise par Jean-Marie Périer
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  4. Lottie 'The Body' Claiborne anima les nuits de Detroit durant les 60's comme exotic dancer. Elle ondulait sur le jazz lounge des Funk Brothers, ces fabuleux session men qui créèrent le son Motown en accompagnant les grandes voix du label. Certains soirs pour échapper à la pression du studio, ils partaient jammer jusqu'à l'aube dans les meilleurs clubs de Motor City.
    Paul Justman leur a rendu un tardif mais sincère hommage avec son doc' bourré de soul Motown: la véritable histoireVers le film

    Sur la photo du bas, Lottie danse avec T-Bone Walker.
    (Merci à Olivier G.)
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  6. Je crois que notre complice Yaya a une secrète connivence* avec la délicieuse Elsa Martinelli qu'on retrouve en Belle Starr dans cet extrait choisi de Il mio corpo per un poker sorti en 1968. 

    * Oui aux connivences, au mystère, au secret qui nous ont tant fait fantasmer. Contre le diktat de la transparence à tout prix, cette obsession niveleuse imposée par les médias au nom d'un droit à l'information qui autorise les déballages les plus sordides.
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  7. Par McGinnis et Yello, ciseleurs de chansons smoooothy.
    La chanteuse est Heidi Happy (Priska Kemp)
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  8. Dans Ring, on peut lire une bonne nécrologie d'Etta par Gaël Giovannelli. Juste un petit bémol: et si on parlait d'eux vivants ? C'est dit. A part ça, la soul est le meilleur remède au spleen de ce début d'année.
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  9. Denise Glaser
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  10. Polaroïd de Robert Frank.
    Quand des objets quotidiens redeviennent par la vista du photographe des supports au fantasme et à la rêverie, l'art retrouve un peu de son pouvoir transcendantal. Même si la beauté ne suffit pas à remplir l'évidence post-moderne, elle offre à ses praticiens et aux spectateurs des points de repères d'où partiront un jour peut-être les fusées (éclairantes ?) contre la laideur cooptée dans l'art comptant pour rien.
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