1. Follow Me Into Temptation...
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  2. Thandie Newton que l'on a pu voir dans RocknRolla de Guy Ritchie en 2008.
    Le prénom du cinéaste britannique et ex-mari de Madonna est bien sûr Guy et non pas Lionel. Comme Olivier vous aurez rectifié. A propos, l'ex-madame Ritchie et championne universelle des fausses jeunes tourne actuellement dans le sud de la France des séquences d'un biopic' sur le roi Edouard VIII et Wallis Simpson, la divorcée américaine un peu aventurière pour laquelle il renonça au trône d'Angleterre. Quand on connaît la bienveillance du couple à l'égard du régime de Hitler à la fin des 30's, pour ne pas parler de sympathies pro-nazies, on se dit que cette passion fut un bienfait pour la Grande-Bretagne et son empire. Afin d'éviter toute nouvelle initiative politico-médiatique du couple le plus glamour de l'époque*, Churchill l'expédia sur un dominion à l'autre bout du monde. Revenons à Madonna. Une chose est sûre, elle aura fait montre d'un bel entêtement à vouloir se et nous prouver qu'elle pouvait faire quelque chose au cinéma, devant ou derrière la caméra. Mais au final, cinéaste ou actrice, à la notable exception de Recherche Susan désespérément, c'est chaque fois le bide.
    Vieux fan déçu, je regrette l'époque où elle enregistrait des hits pop légers et entêtants qui collaient bien à l'air du temps. A son âge - on est de la même année (1958) -, elle devrait arrêter de faire la toupie bionique sur scène et trouver des compositions pop et lounge pour un album posé d'une femme mûre qui pourrait être belle. (Je n'aborderai pas ici l'autre drame qu'est son look actuel.)

    * Edouard et Wallis furent reçus en grandes pompes par l'Etat nazi, Gœbbels ayant flairé l'impact promotionnel immense que leur visite pouvait apporter au régime.
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  3. Foire de Seattle, 1962.
    J'ai trouvé de bons visuels; je vous les montre prochainement.
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  4. Le Manège enchanté, Le petit train-rébus et Chapi Chapo
    Source
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  6. Tallulah Bankhead
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  7. Abbe apparaît après 90 secondes env.
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  8. Esther Williams
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  9. Une jolie surprise, presque un miracle: une campagne actuelle qui a de l'allure sur les murs de Pignouf-Ville ! On voit un effort esthétique réel, bravo. On voulait le signaler.
    Le projet d'aménagement de la plage.

    A côté de la production d'horreurs issues du post-modernisme effondré dans l'art comptant pour rien qui phagocyte la quasi totalité de la production actuelle (affiches culturelles, pubs, etc.), quelques courageux artistes graphiques résistent encore. Pourtant ils semblent incapables de dépasser le stade de l'ersatz ou du musée*, fut-il bien maîtrisé. On a l'impression qu'ils n'ont pas pu ou pas su découvrir et développer leurs propres formes pour montrer l'époque et anticiper celles à venir, une démarche fondamentale, moteur de toutes les avant-gardes au XXe siècle. A leur décharge on prétend depuis 30 ans que la notion d'avant-garde est obsolète, morte, etc. Mais QUI affirme cela ad nauseam pour décourager les dissidents ? Le milieu content pour rien et ses zélateurs pédagogiques et médiatiques qui ont peur de perdre le monopole juteux sur les commandes d'Etat, les subventions et les manifestations montées par les organismes officiels où règne un système repasse-plats bien huilé d'où sont exclus les créateurs récalcitrants au dogme.

    * Avec ce blog nous sommes confrontés au problème: face aux manifestations du nihilisme contemporain et totalitaire, on est forcés de chercher des satisfactions esthétiques dans un passé proche ou plus lointain.
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  10. Sur la double page centrale de Playboy Magazine de juillet 1961:
    George Nelson, Edward Wormley, Eero Saarinen, Harry Bertoia, Charles Eames et Jens Risom.
    Source, un des meilleurs sites pop culture*.
    Pour aller plus loin.

    L'idée est de proposer des articles comme ceux-là en français, mais c'est un vrai travail rédactionnel et iconographique et on n'a pas très envie de le fournir gratuitement pour se le faire piquer ou pomper par des journaleux sans plume ou des pubars sans imagination. On réfléchit à une formule mixte pour la rentrée et on vous en parle.

    * Ils viennent de consacrer un article à Steve McQueen et au 24H du Mans.
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