1. Mae West
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  2. Le band exténué parvient encore à jouer des reprises expertes pour le dernier couple du bar lounge de l'hôtel Astoria à Trondheim. (Norvège, 1961)
    Design: Verner Panton
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  3. After d'avant: Paris, les Halles en '62 par Tom Palumbo.
    Souvenir ébloui d'un chocolat bu au comptoir d'un restaurant de l'ancien cœur de la capitale avec mon grand-père. Je devais avoir 5 ou 6 ans...
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  5. "La critique est aisée et l'art est difficile": vous connaissez cette phrase. Elle est d'un certain Destouches, auteur dramatique complètement oublié du début du XVIIIe siècle. Elle a perdu aujourd'hui toute sa pertinence. Ce qu'il faudrait plutôt dire, à présent, ce serait quelque chose comme: la critique est à réinventer car tout le monde est un artiste. Quand tout le monde est un artiste, bien entendu, et immédiatement, plus personne ne l'est, il n'y a plus d'art et ce que l'on vend tous les jours sous ce nom ne vaut plus un clou; ni même le marteau qui ne tapera pas dessus. La critique n'est donc plus en opposition qu'avec une camelote misérable, le plus souvent prétentieuse et ridicule, dont il n'y a plus à se préoccuper, sauf comme phénomène sociologique, éventuellement "sociétal", comme symptôme d'une de ces misères sociétales qu'on appelle avancées. La critique n'a plus l'art comme antagoniste, comme autre. Elle n'est plus le parent pauvre de la littérature. Elle ne double plus l'art de son discours puisqu'il n'y a plus rien de ce côté-là, à doubler. Critiquer, maintenant, et littéralement, c'est représenter, dans la mesure où la bonne pensée dominante, en s'efforçant d'abolir toute différenciation, toute disparité, toute contradiction, s'interdit du même coup la possibilité de critiquer, donc aussi de représenter.

    Philippe Muray, Festivus, festivus, entretiens avec Elisabeth Lévy (Fayard)
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  6. Photogrammes de la séquence finale de Tokyo Drifter/Le Vagabond de Tokyo*, un des chef-d'œuvres du réalisateur Seijun Suzuki (1966). Son écriture stylisée et épurée - avec des clins d'œil à J.-P. Melville - est servie par un cadre merveilleusement maîtrisé où l'ironie, le pastiche et de fulgurantes propositions pop perturbent le fil narrateur pour notre plus grand plaisir. En effet, le cinéaste n'en faisait qu'à sa tête et fut plus d'une fois remercié par des producteurs déstabilisés qui attendaient des film de yakusa classiques.
    Lire (en français)

    * Les éditions HK Video ont été bien inspirées en rassemblant quelques uns des meilleurs titres de Suzuki sur deux coffrets soignés à demander sans attendre au père Noël. (v.o. st. fr.)

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  7. Pause cigarette et rafraîchissement pour Brigitte Helm (Maria/Androïde) sur le plateau de Metropolis tourné par le maître. (1927)
    Source: un blog noir/blanc tout neuf à suivre.
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  8. Rita Hayworth dans Affair In Trinidad en 1951 avec comme partenaire principal Glenn Ford.
    Source: Dr Macro
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  9. Quand The Buffalo Springfield faisait de la figuration intelligente dans un épisode de Mannix, la première série funky achetée par les télés européennes qui a marqué ma génération: des scripts au montage et du générique à la B.O., tout nous semblait tellement moderne.
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  10. - Mais qu'est-ce que fout Zorro ?!?

    Le 3e photogramme est extrait de The Bride Of The Monster réalisé en '55 par Ed Wood dont voici le trailer:

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