
Ce soir dans
Tard Pour BAR (ce titre... !) sur TSR1, un débat opposera
Christophe Gallaz, redoutable bretteur remonté contre les errances de l'art contemporain et les complaisances envers sa vacuité prétentieuse au propriétaire d'un galerie venu défendre, lui, le travail de
Sylvie Fleury, décoratrice de tendance pop-consumériste dont le MAMCO (Genève) présente ces jours une rétrospective-hommage. Le thème général de l'émission est
Peut-on rire de tout ? C'est à 22H45.
Juste après l'émission:
Maintenant, c'est certain, dans un débat - même trop bref - les lobbyistes médiatiques d'un art contemporain coopté quasi officiel n'ont rien de sérieux et de solide à opposer à l'exigence essentielle qui reste au cœur de la relation à l'art: l'émotion créée par l'objet, cette émotion* que revendique Christophe Gallaz quand il entre en contact avec une œuvre, parce qu'une œuvre doit modifier, même de manière infime, celui qui l'aborde, quelque soit le style, la technique, l'époque...
Le débat express sur l'art content pour rien
ouvre l'émission.
* Une exigence qui n'exclut nullement la réflexion dans un second temps, contrairement à ce qu'affirment encore les tenants de l'art post-conceptuel effondré très vite à bout d'arguments pertinents dans un débat comme on vient de le constater.
Un peu laitue cette photo... Vous trouvez aussi ? Je sais, j'avais rien d'autre de plus décalé sous la souris. ;)
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