1. A bientôt.

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  2. Depuis quelques temps, Tim Simenon avait tiré son concept-group à formation (très) variable du lourd sommeil des 80's et l'avait réactivé en intégrant des invités à forte personnalité comme Mark Lanegan ou Jon Spencer. Leurs sessions ont donné naissance à un album qui mérite qu'on s'y arrête.
    A écouter et à suivre.
    Lire la brève chronique du Monde.
    Bomb The Bass sur MySpace


    (DR)
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  3. Dans Bell Book and Candle/L'adorable voisine (1958), la toujours aussi craquante Kim Novak interprète une sorcière qui tient une galerie d'art. Elle annonce le personnage de la série Ma sorcière bien-aimée/Bewitched. La photo ci-dessous se trouve également dans le très beau bouquin Tiki Modern de Sven A. Kirsten édité chez Taschen* dans une version trilingue appréciable. Se rendre à une cocktail party dans l'appartement de Kim à la fin des 50's pour admirer sa nouvelle déco et ses objets d'art Tiki...
    Source intérieurs 50's: American Homes

    * Yves: Suis pas très chaud avec le livre Tiki de chez Taschen parce que 1) les couleurs sont fausses et 2) tous les documents sont coupés, rognés de malencontreuse façon ce qui leurs fait perdre de leurs ambiance... par Waiikiki, Odin, Uytzilopotchli et don Amèche !
    René: Le bouquin Tiki de chez Taschen a un gros avantage: il propose un panorama très large de la culture tiki, de l'ethno au tiki pop; c'est un bon support à la (tik)initiation. Pour les couleurs, je te crois volontiers, mais il est difficile de trouver des documents fiables... A moins, comme toi, d'avoir eu la possibilité de pouvoir pratiquer in situ certains lieux de la galaxie tiki: bars, hôtels et parcs de loisirs. Parce que sur les reproductions papier et en ligne, la palette de couleurs varie passablement d'un livre à l'autre, d'un site à l'autre. En ce qui concerne les coupes des photos, j'ai trouvé celle de Penrose avec les deux surréalistes coiffés de masques polynésiens: elle fait visiblement partie d'une série puisque celle sur le site du photographe n'a pas le même cadre que celle du livre Taschen. J'aime feuilleter ce gros bouquin, rester sur une illustration ou une pochette de disque et rêver... (cf ci-dessous: "Avançons masqués !")

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  4. Doit-on classer Ray Caesar chez les héritiers du réalisme fantastique ? Est-ce si important de lui coller une étiquette ?
    D'autres travaux...

    © hugemagazine.com
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  5. Revoir le regretté Ulrich Mühe dans La vie des autres/ Das Leben der Anderen (2006) ce soir sur Arte à 21H. Le film de Florian Henckel von Donnersmarck sera suivi du doc' histoire Nous étions la Stasi, du Making Of du film et d'un portrait de Ulrich Mühe.

    © Ocean Films
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  6. Lundi...
    Les ch'tits oiseaux chantent... Le goudron se gondole de plaisir... Et le soleil réchauffe les carcasses vermoulues des vieux rockeurs; le soleil, mais aussi la leçon de mambo endiablé donnée today par l'exubérante Maria A. Pons dont le déhanchement nous ferait repasser le Rio Grande !
    Source photo
    D'Orson Welles à Alain Bashung, le Mexique agit comme une zone semi-consciente pour pas mal de créateurs occidentaux dans le rock, le roman noir et le cinéma. Quand j'ai rencontré Monsieur Alain pour Couleur 3, il avait déjà sorti les deux albums majeurs que sont Play Blessures (1982) et Figure imposée (1983) avec son merveilleux "Echantillon décolleté en V, pourquoi m'as-tu quitté ?" Durant une petite heure, tous les deux, sans tourneur-manager ou représentant de son label, on s'est installés devant le nagra dans une cabine de montage de la Radio de Genève et on a causé: de l'enfant qu'il venait d'avoir ("Mon meilleur album !"), des crooners - il m'avoua son admiration pour Dean Martin -, du cinéma américain et de la force d'attraction du Mexique comme "pays" virtuel où les créateurs expédient leurs personnages pour oublier et se faire oublier. Aussi quand Passé le Rio Grande, son disque suivant est sorti, son titre ne m'a pas surpris. Sur la chanson Dean Martin, j'ai entendu ce couplet:
    Dean Martin, j'entends des voix de velours
    Dean Martin, j'attendrai ton retour
    Zorro s'est décommandé, a d'autres chattes à fouetter
    J'en ai les bals masqués, René va renégocier
    Dean Martin

    Forcément, je l'ai pris un peu pour moi... ;)

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  7. C'est le mot d'ordre de la semaine. Comme ici Paul Eluard et ELT Mesens saisis en pleine conversation (surréaliste ?) par leur ami le peintre et photographe Roland Penrose qui fut aussi le compagnon de Lee Miller.

    © Roland Penrose
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  8. En 1938, la marque Philips commandita à Georges Pal, un des meilleurs réalisateurs de films d'animation de son temps, un court métrage pour promouvoir la qualité de sa nouvelle pellicule couleurs. Un extrait du livret:
    Né en 1908 au sein d’une famille hongroise, George Pal s’oriente vite vers le dessin animé, et fait ses premières armes dans les célèbres studios de la UFA à Berlin. En 1933, l’arrivée des Nazis au pouvoir l’oblige à émigrer en Tchécoslovaquie. (...) À l’époque, les films d’animation étaient essentiellement utilisés pour la publicité. Une entreprise française de cigarettes avait engagé George Pal, avec succès. Lorsqu’il s’installe aux Pays-Bas l’année suivante, il fonde son studio, qu’il baptise « Dollywood », et rencontre les dirigeants de Philips. La radio était la télévision de l’époque, et Philips voulait présenter son produit comme une fenêtre ouverte sur le monde. George Pal animera donc une bande sonore composée de musiques de tous horizons, et prouvera ainsi, année après année, les fantastiques possibilités offertes par son invention : les « Puppetoons ». Ces poupées animées étaient faites de bois, composées de nombreuses parties interchangeables, et filmées image par image en Technicolor.
    On peut voir et revoir ce petit bijou dont la B.O. est interprétée par le grand orchestre Ambrose sur un site qui rassemble des trésors du film européen. Pied jaloux !

    © Trésors des Archives Européennes/Lobster Films/Enki technologies
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  9. Le Musée d'Art et d'Histoire de Genève-Calvingrad a une nouvelle conservatrice en charge des collections XXe et XXIe siècles. Nadia Schneider qui vient du contemporain va devoir aussi se frotter à quelques uns des grands formats de l'art moderne comme Félix Vallotton dont le musée expose La haine (ci-dessous).
    Une envie de déambuler le dimanche...
    En-haut: Nu couché sur tapis rouge Source
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  10. On ne sort plus en boîte le samedi depuis des années, mais ça ne nous empêche pas nous éclater en cercles plus restreints autour d'exigences visuelles et sonores aiguisées par le temps, toutes ces petites bulles pop qui nous permettent de respirer. Ainsi, dans la B.O. des week-ends il y a The Flirtations, un girl group originaire de Caroline du Sud qui fit vibrer les charts en 1968 avec Nothing But A Heartache écrit et coproduit par l'Anglais au parfum Wayne Bickerton. Bien sûr, The Flirtations avaient en point de mire le succès planétaire des Supremes, ce qui n'enlève rien au charme acidulé de cette bonne chanson pop-soul avec ses accents spectoriens. Egalement dans la play-list spéciale Saturday Night: Sylvia, son groove sexy, sa casquette surdimensionnée 70's et Pillow Talk*... (envoyé par Yves Arnold)

    * Conversation sur l'oreiller... Quelques fois, j'imagine les oreillers comme des boîtes noires captant les transports les plus débridés et torrides; mais un oreiller, ça n'enregistre rien, du moins pas les différents modèles testés à ce jour. ;)
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