1. ... de Patrick Eudeline qui paraît bien dans ses boots et que je continue à trouver sympathique. En prologue au docu-soap de Emmanuelle Nobécourt et Didier Varrod Sauvages Seventies diffusé sur Arte du 4 au 8 août à 20h15.

    A propos des mois chauds, Eudeline et les vacances dans le Sud:
    Quand faut partir en vacances dans le Sud pour faire plaisir à quelqu'un ou autre... d'ailleurs plus personne ne me le propose. Faut dire que c'est un cauchemar absolu de me traîner en Corse où je sais pas où (rire). Ca me gonfle, il fait chaud, j'aime pas le soleil, j'aime pas la chaleur, comment les gens sont habillés quand il fait chaud, je trouve ça vulgaire... la totale. Quand on va sur une plage j'enlève même pas mes bottes. Je suis pas de là.
    Source
    (un bon interviouve de l'animal)

    En-haut: Les New York Dolls ont été mis à toutes les sauces. Je me dis que si Johnny Thunders avait touché des royalties sur chaque image et chaque son "emprunté" au NY Dolls, il ne serait peut-être pas mort seul dans une piaule de la Nouvelle-Orélans à quelques pas de la maison de son pote Willy Deville qui, lui, a bien su négocier sa seconde vie... (DR)
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  2. Si comme moi vous avez été môme dans n'importe quel pays d'Europe de l'Ouest en dehors de l'Allemagne (de l'Ouest) durant les 60's et si vous avez de la peine aujourd'hui à citer spontanément le titre d'un film, d'une chanson ou d'une émission télé du pays de Kraftwerk et de Werner Herzog, c'est la conséquence tardive mais réelle d'un boycott "culturel" collectif. Au milieu des 60's nous n'étions qu'à vingt ans de la fin de la Seconde guerre mondiale; la plupart des productions allemandes (RFA) pop et variétés étaient alors systématiquement "ignorées" - quand elles n'étaient pas ouvertement refusées - par les diffuseurs européens. Culturellement, la RFA était observée avec grande méfiance et les directeurs des programmes issus d'une génération profondément marquée par le nazisme et l'atroce conflit mondial restèrent longtemps suspicieux envers tout ce qui venait du pays de Hitler. Ce blocage fit que les enfants du baby boom n'ont quasiment rien vu des productions allemandes entre 1946 et le début des 70's quand furent traduits les premiers Derrick.
    Pour tenter modestement de combler ce trou, une première sélection de chansons proposées par Yves:
    Tout d'abord, Teddy Parker nous fait la démonstration de son jeu de jambes aisé sur l'immortel Nachtexpress Nach St. Tropez avant de sauter, les pieds joints et le jarret souple, dans la chorégraphie aérienne (?) imaginée pour le sémillant Scopitone Copacabana et sa descente-et-remontée de passerelle inégalée. Cette introduction s'achève sur le duo Hannelore Auer & Manfred Schnelldorfer, qui portent ici un costume où s'exprime ce fameux stylisme néo-bavaro-dépressif finalement assez seyant.

    Source photos
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  3. En prenant un café cet après-midi avec l'ami Yves dans une séance de rédaction assez, heu, informelle, j'ai soudain repensé à une digression qu'il fit un jour à la radio sur la qualité de la photo dans The Shining de Kubrick, plus particulièrement sur le rendu du motif géométrique de la moquette de l'hôtel sur laquelle le môme lance son tricycle. J'ai retrouvé une image du film avec cet accessoire essentiel, car Kubrick ne filmait rien par hasard, bien sûr. Faut-il lire dans son dessin répétitif, obsédant et "infini" un renvoi au comportement de l'écrivain-gardien et la préfiguration du labyrinthe final... ? Voilà en tout cas un bon prétexte pour revoir certains passages de ce chef-d'œuvre.
    Source

    © Warner
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  4. Schneewittchen, 1985


    Wie es damals war, 2004
    Source: le site de Matthias Kœppel
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  5. Ric Ocasek est né en 1949 à Baltimore. Ce grand type long comme un jour sans musique a pigé la quintessence de la pop et du rock en produisant le second album de Suicide en 1980 (celui que je préfère) et A Way Of Life en 1988. Rien que pour ça, il mérite d'être fait Chevalier du Rock. En plus, doté d'un indéniable humour en plus de l'art, rare, du songwriting pop, il a réussi le coup double de placer en pleine période after punk ses chansons bubble rock sur nos platines ET dans les charts avec son groupe improbable The Cars, nouvelle preuve que les meilleures oreilles américaines n'ont pas peur de décrocher des hits auprès du grand public tout en servant les aventuriers les plus pointus comme Rev et Vega.
    Son site
    mySpace

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  6. Soyons un peu fashion: (en quatre tableaux)
    1) 77 sunset strip ***** - Franchement, c'est un must.
    2) Space age futurism: superbe musique, postérieure aux images, genre "Thalassa gone wrong"; tu vas aimer. Extrait du disque "Black Mass" qui contient par ailleurs un morceau de House Music 15 ans avant l'heure.
    3) Un peu de freak beat australien à regarder sur l'écran du téléphone portable* Thane Russal & Three: 'Security' (1966)
    4) Et enfin juste pour faire l'idiot: Batman on drugs

    Yves A.


    Je me régale, plus particulièrement avec le ballet de 77 Sunset Strip.
    Encore une sélection de haute tenue; merci cher ami.

    * Je suis parmi les derniers résistants au portable in town; j'ai reçu ce mot d'Yves:
    J'ai pas de portable non plus, je déteste ça. A part regarder sur l'iphone de girlfriends ces clips de YouTube où seul le 45t qu'on entend est filmé en train de tourner; ça a un côté jukebox...


    En-haut: 77 Sunset Strip une série TV 50's © Warner et ci-dessus: Mort Garson, le compositeur de Black Mass Lucifer en 1971, si j'ai bien tout suivi.
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  7. Zouzou et Dani: deux belles personnes, deux papillons de nuit, deux rescapées des 60's glamour et des 70's poudreuses.
    Les titres des chansons me plaisent bien. On n'est pas obligés d'écouter le single. :)
    Le plan le plus érotique qu'ait jamais tourné Eric Rohmer est celui d'une jeune femme nue, de dos, sortant de la douche, une serviette enroulée autour de la taille. Un homme a posé ses mains sur ses hanches et son front sur son ventre. L'Amour l'après-midi, sixième "conte moral" du libertin puritain traquant des hommes soumis à la tentation, est aussi le film le plus connu de Zouzou, qui se souvient que Rohmer arrivait chaque matin à pied aux studios de Boulogne en tenue de jogging, rougissait de timidité à l'idée d'embrasser une femme et se délectait avec elle, tous les jours à cinq heures, d'un thé avec gâteaux Chantilly : "Enfin une actrice qui mange !"
    Sur Zouzou, superbe égérie/muse des sixties à Paris.
    Sur Marianne, Zouzou et les autres
    Et un portrait par FR3 - avec les limites de ces reportages express façon JT - où on entrevoit Fabrice Gaignault auteur de l'essai sur les égéries 60's dont Zouzou est un des personnages récurrents.


    Source pochette: "bide et musique"
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  8. Le cinéma de Youssef Chahine.
    Un extrait de Gare centrale (1958)

    © Allociné
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  9. Un album de Bomb The Bass, le projet/concept à géométrie variable de Tim Simenon, sortira le 15 septembre 2008.
    La vidéo
    Et sur mySpace

    © Count Theodore Zichy, Legs, 1948 via www.luminous-lint.com
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  10. La reinette du Club Mickey Mouse*... Et un peu plus tard ... Plus sexy que Nancy Sinatra ?
    When You Get What You Want est une petite perle pour dérider un dimanche de juillet en ville; Annette est très bien... Mais je reste fidèle à Nancy.

    *Rectification : la reine des souris du Mickey Mouse Club
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